Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Trois gérants ont lancé, ces derniers mois, des ETF investis dans des titrisations de prêts à de grandes entreprises : les CLO. Les régulateurs ont mis des garde-fous, mais la complexité du montage reste un point d’attention majeur.
Près d’un milliard d’euros sont sortis des «trackers» adossés à la cote américaine, au profit d’expositions plus diversifiées géographiquement, mais aussi de l’Europe et de la Chine.
Le Panel Actions anticipe une reprise des marchés américains et japonais, avec un potentiel de hausse respectivement de 8% et 10% à un an, contre 3% pour le CAC 40 et 2% pour l’Euro Stoxx 50.
Le géant américain vient de lancer un véhicule qui cherche à maximiser le rendement, dans un environnement de marché favorable, marqué par des taux réels élevés.
Selon une étude de Fidelity, six distributeurs sur dix se disent prêts à avoir davantage recours à ces instruments émergents dans les 18 prochains mois.
La banque en ligne annonce une offre commerciale pour ses clients qui acquerront des fonds indiciels gérés par la société de gestion du Crédit Agricole.
La semaine dernière, la collecte du marché des ETF de droit européen a explosé, à plus de 11 milliards d’euros. Ce sont les indices mondiaux diversifiés, mais aussi les sous-jacents purement européens qui en ont profité.
L’autorité chinoise de régulation des marchés financiers envisage de développer l’investissement indiciel en autorisant le lancement de fonds cotés en Bourse (ETF) multi-actifs et d’autres produits indiciels innovants, rapporte le Financial Times.
La gamme de fonds, baptisée Lifecycle, inclut un mécanisme d’ajustement progressif et automatique de leur allocation en fonction de l’évolution des profils de risque des épargnants.
La société de gestion britannique Jupiter lance un ETF dans l’espoir d’attirer des clients, alors que les investisseurs continuent de sortir des fonds traditionnels, rapporte le Financial Times. Elle vient de coter un ETF d’obligations gouvernementales mondiales géré activement sur le London Stock Exchange. Il s’agit d’une décision symbolique pour la boutique, qui gère 50 milliards de livres et vend des fonds traditionnels depuis sa création il y a 40 ans. « Le risque est que si vous restez là à ne rien faire, les ETF vont continuer à cannibaliser les actifs détenus dans les fonds traditionnels », commente Matthew Beesley, directeur général de Jupiter.