Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
Une table ronde mettait en scène Jerome Powell et Christine Lagarde, aux côtés du banquier central brésilien Roberto Campos Neto, pendant laquelle ils ont réitéré leurs positions récentes.
L’inflation de base est de son côté ressortie inchangée, à 2,9%, alors que les économistes prévoyaient un léger tassement à 2,8%.
L’inflation PCE a ralenti à 2,6% en rythme annuel en mai. Les dépenses de consommation ont augmenté de 0,2% en rythme mensuel, après +0,1% en avril, tandis que les revenus des Américains ont à nouveau progressé.
La hausse des prix dans l'Hexagone ressort à 2,1%. L'indice harmonisé, qui permet une comparaison européenne, atteint 2,5%, également en repli de 0,1 point. En mai, la consommation a par ailleurs rebondi.
La masse monétaire est revenue à un niveau positif pour ses principales composantes, mais la dynamique du crédit reste globalement très limitée malgré trois mois de très légère amélioration.
Les cours de l’or noir viennent de connaître trois semaines de progression, soutenus à la fois par les espoirs sur les taux, la saison estivale et les tensions géopolitiques.
A l’approche du premier débat Trump-Biden ce 27 juin, les analyses se recentrent sur les programmes économiques. La perspective d’une majorité relative pourrait limiter la marge de manœuvre du prochain hôte de la Maison-Blanche.
L’expansion reste encore une fois uniquement portée par les services, tandis que le secteur manufacturier recule à nouveau.
La banque centrale britannique ne modifie pas sa politique monétaire malgré le ralentissement de l'inflation dans le pays.
Les livraisons de GNL américain ont chuté en mai. Les approvisionnements en gaz russe risquent de déclencher des effets directs ou indirects liés aux sanctions passées et à venir.
L’inflation au Royaume-Uni est retournée à la cible de la banque centrale pour la première fois depuis trois ans mais les prix dans les services continuent d’être dynamiques.
La hausse des prix a accéléré le mois dernier dans les pays de la zone monétaire pour atteindre 2,6%. L'écart entre les taux souverains allemand et français réagit peu.
Les analystes estiment que ces données sont encore retardées par rapport aux tendances en cours sur les salaires.
L'Institut a révisé à la hausse son estimation nationale mais l'évolution de l'indice harmonisé qui permet une comparaison avec les autres pays européens a été revu en baisse.
Les prix du transport maritime ont quasiment doublé depuis fin avril, entre l’Asie et les autres régions. Même si son poids dans le prix final est faible, cette pression inflationniste sur le secteur manufacturier s’ajoute à celle des services.
La hausse des prix est ressortie à +3,3% en mai aux Etats-Unis alors que les économistes anticipaient une progression de 3,4%.
La réunion du Comité de politique monétaire n’en sera pas moins suivie, car les gouverneurs mettront à jour leurs projections d’inflation et de taux, qui devraient donner la direction sur de possibles baisses de taux en 2024.
Contrairement à la BCE, qui vient d'annoncer une baisse de ses taux directeurs, la banque centrale américaine devrait maintenir les siens inchangés mercredi.
Le Conseil des gouverneurs n’a pas pu avoir un vote unanime sur sa première baisse de taux. L'Autrichien Robert Holzmann s’y est opposé à cause de la hausse des projections d’inflation.
La Banque centrale européenne commence à assouplir sa politique monétaire, en abaissant son taux de dépôts à 3,75%. Mais elle refuse de s'engager sur une trajectoire de baisse, alors qu'elle vient de relever sa prévision d'inflation pour 2024 et 2025.