Retrouvez toute l’actualité du secteur de l’aéronautique-défense. Notre analyse des grandes tendances à l’œuvre dans l’industrie, les publications des principaux acteurs du domaine, qu’il s’agisse de constructeurs (Airbus, Boeing, Dassault Aviation) ou d’équipementiers (Thales, Safran).
La compagnie indienne passe une commande hors normes de 500 appareils de la famille A320neo. Pour un prix catalogue de quelque 55 milliards de dollars.
Le duopole qui régit l’aéronautique mondiale depuis plus de 20 ans sait qu’il devra composer avec les ambitions de Comac, le prétendant chinois. Pour l’heure, la menace est encore bien lointaine.
La décarbonation de l'aviation dépendra de l'ambition des choix politiques et ne se fera pas sans subvention, alertent les professionnels, en amont du forum que l'Association du transport aérien international consacre à l’énergie à partir du 16 mai.
Tandis que Berlin promet à Kiev une livraison d’armes de 2,7 milliards d’euros, Rheinmetall va créer une coentreprise avec le groupe ukrainien Ukroboronprom.
Politiques et industriels cherchent à convaincre les investisseurs d'adapter leurs critères de durabilité afin de faire un meilleur accueil aux valeurs de la défense dans les portefeuilles.
Stimulé par le conflit russo-ukrainien et des consolidations potentielles, le secteur reste cependant exclu du processus d’investissement de nombreux fonds.
Lanterne rouge du CAC 40, le groupe de technologies et de défense a enregistré plus de 23 milliards d'euros de prises de commandes l'an dernier. Mais il a déçu sur les anticipations de son cash-flow disponible pour 2023.
Thales a indiqué samedi qu’il prévoyait de recruter plus de 12.000 salariés dans le monde en 2023, dont 4.000 créations de postes et environ 5.500 recrutements dans l’Hexagone. Les embauches, qui concerneront particulièrement la recherche-développement et les fonctions support, seront ventilées dans tous les secteurs du groupe, y compris l’aéronautique qui avait été sinistré pendant la crise sanitaire due au Covid-19. En 2022, 11.500 personnes ont été embauchées, dont 32 % de femmes, portant les effectifs à 77.000 salariés - sans compter les 4.500 personnes de sa division de transports terrestres en cours de cession.