Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur l'évolution des marchés des principaux métaux précieux (or, argent, platine etc.) et sur les grandes entreprises actives dans le domaine.
L’élection présidentielle américaine risque d’éclipser une COP Climat déjà fragilisée par le contexte géopolitique et l’envolée des dettes publiques. La «COP Finance» espère mobiliser les acteurs financiers.
La Banque centrale européenne a engagé cet été une revue stratégique de sa politique monétaire. Des voix se font entendre pour intégrer de nouveaux outils verts.
La BoE a réduit son taux directeur de 5% à 4,75% et indiqué que la baisse serait désormais progressive compte tenu de l’impact du budget sur la croissance et l’inflation britannique.
En congédiant son ministre des Finances opposé à l’idée d’assouplir la règle budgétaire, le chancelier Olaf Scholz a défait la coalition créée en 2021. Il entraîne le pays dans une nouvelle phase d’incertitude, au moins jusqu’aux prochaines élections.
Ni la nette victoire de Donald Trump pour un nouveau bail de quatre ans à la Maison-Blanche, ni la perspective d'une politique économique perçue comme plus inflationniste n'ont conduit la banque centrale américaine à infléchir son cap. Son principal taux directeur est abaissé à 4,75%.
L’opérateur boursier a présenté en même temps que ses résultats trimestriels son nouveau plan stratégique à trois ans. La croissance et la diversification restent prioritaires. Des acquisitions opportunistes ne sont pas exclues.
La victoire républicaine aux élections américaines avait été anticipée par les marchés mais les devises, qui ont rebondi, resteront sous pression face au risque des droits de douane et à la détérioration des conditions financières en dollar.
La banque centrale du Royaume-uni a diminué ses taux pour la seconde fois depuis 2020. Elle relève aussi ses prévisions de croissance pour le pays en 2025.
Le chancelier allemand était en froid avec Christian Lindner, président du Parti libéral-démocrates (FDP) dont le départ entraîne l’éclatement de la coalition au pouvoir.
Le Congrès des Etats-Unis est un parlement bicaméral, où le Sénat dispose globalement des mêmes pouvoirs législatifs que la Chambre, à ceci près que certains votes peuvent nécessiter plutôt 60 que 51 voix sur 100.
Wall Street, et notamment les valeurs moyennes américaines, bondissent après la victoire des républicains. Mais tous les secteurs ne sont pas gagnants. L’Europe et l’Asie sont dans la ligne de mire.
La victoire de Donald Trump aux Etats-Unis a fait flamber le marché des cryptos, le nouveau président ayant pris plusieurs fois des positions en faveur de ces actifs.
Les deux banques centrales devront gérer avec doigté les effets du programme économique inflationniste de Donald Trump, si celui-ci applique ses promesses. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
L'élection du nouveau président américain pourrait avoir des répercussions sur de nombreuses actions européennes. L'Agefi a passé en revue celles dont le cours pourrait le plus évoluer dans les prochains mois.
De nombreuses classes d’actifs profitent du résultat des élections américaines qui donnent la présidence et le Sénat au camp républicain. Les actions des petites capitalisations américaines sont particulièrement à la fête.
Le candidat républicain va retrouver la Maison-Blanche au terme d'un scrutin qui n'a pas laissé de place au suspense. Le camp républicain reprend aussi le Sénat. Un come-back lourd de conséquences.
Trois économistes de la Réserve fédérale constatent une moindre participation des ménages à faible revenu à la croissance des dépenses de consommation entre mi-2021 et mi-2023 aux Etats-Unis.
Débuté en 2021, cet élan s’est prolongé jusqu’à cette année, grâce aux foncières et aux banques. Les «rising stars» et les «fallen angels» devraient désormais s’équilibrer, sauf en cas de fort ralentissement de la croissance.
Les dettes bancaires en dollars ont particulièrement souffert du «Trump trade», avec la perspective d’une élection qui augmenterait l’inflation et les taux longs.
Le résultat des élections américaines pourrait ne pas être publié immédiatement. En cas d’égalité, la Constitution dispose d’outils pour départager les candidats. Si le perdant ne reconnaît pas sa défaite, dans les heures ou les jours qui suivent le vote, les marchés ont prouvé en 2020 qu’ils pouvaient garder leur calme.
L’indice DXY du billet vert face à un panier de devises a enregistré lundi son plus fort recul depuis août. Et les sondages redonnant des chances à la candidate démocrate Kamala Harris ont accru la volatilité qui devrait rester élevée sur plusieurs classes d’actifs.
La banque centrale devrait baisser ses taux d'un quart de point ce jeudi 7 novembre, deux jours après le vote crucial des Américains. Elle reste un îlot de stabilité et d'indépendance outre-Atlantique.
Les obligations d’entreprises ont pâti en octobre de la hausse des taux mais les spreads se tiennent grâce aux bons fondamentaux et à la forte demande des investisseurs.
Lors du scrutin de 2020, les résultats définitifs n’avaient été connus que quatre jours après le vote. Même si cette année l'exercice peut être plus rapide, il n’est pas certain que certains Etats parviennent à gérer efficacement la forte proportion de votes par anticipation qui, de manière contre-intuitive, faussent les premières estimations.
Le géant français de l’énergie estime que la poursuite des tendances actuelles entraînerait une hausse de la consommation d’or noir jusqu’en 2035 au moins. Pour le gaz, le pic de demande ne serait pas atteint avant 2040.
La surface de notre planète est recouverte d’eau à 71 %, et il semble donc peu probable que la pénurie en eau potable puisse être une préoccupation. Pourtant, seulement 1 % de cette eau est potable et accessible1 et la pénurie de l’eau constitue désormais un enjeu majeur.
Le réajustement à la hausse des taux et des marchés actions hésitants face à une saison de résultats mitigés ont pesé sur la tendance. L’or bat des records.
La peste porcine en Chine et en Europe et les contraintes sanitaires qui en découlent ne font pas monter les cours car la production continue à croître et le prix des matières premières qui constituent l’alimentation des porcs est orienté à la baisse.