Chaque semaine, les analyses et prévisions des économistes et gestionnaires d'actifs interrogés par L'Agefi sur les taux, changes, actions, crédit et allocation d'actifs.
Près de 55% de la dette française est aux mains de non-résidents, une proportion bien plus élevée que pour l'Italie. Les banques françaises ont commencé à en reprendre dès 2023. Les assureurs devraient normalement prendre le relais.
Ce phénomène quasi-inédit en zone euro a été beaucoup commenté début novembre. Mais il pourrait devenir la norme, comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis et au Japon.
Malgré une économie atone, le compartiment haut rendement euro a bénéficié de la réouverture du marché primaire, de la baisse des taux et du resserrement des spreads, avec une qualité de crédit en amélioration.
Bien que l’éventualité d’une censure du gouvernement de Michel Barnier s’accentue d’heure en heure, les marchés ne l’ont pas encore intégrée. Le danger est pourtant bien là.
En Grèce ou en Italie, les crises de la dette ont toujours sanctionné l’inconséquence et l’incompétence des politiques, et forcé l'Etat à maigrir. Bientôt le tour de la France ? L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
Les professionnels interrogés dans le cadre du Panel Crédit de L’Agefi continuent de plébisciter la classe d’actifs, mais certains investisseurs adoptent une position d’attente avant la prise de fonction de Donald Trump.
Le spread OAT-Bund a atteint 90 points de base mercredi matin, son plus haut niveau depuis 2012 et la crise de l’euro, en raison de la bataille budgétaire et de l’incertitude autour de l’avenir du gouvernement et de l'Assemblée nationale.
Le spread entre les taux à 10 ans français et allemands a grimpé jusqu'à 90 points de base alors que l'avenir du gouvernement Barnier apparaît de plus en plus incertain.
Pour financer la plus grosse acquisition de son histoire, Roquette a fait son entrée sur le marché obligataire. Le directeur général du fabricant d’ingrédients d’origine végétale, Pierre Courduroux, explique les implications de cette opération et dévoile les perspectives du groupe familial.
Coincée par ses activités russes, la banque autrichienne a fini par émettre une nouvelle dette Additional Tier 1 permettant de rembourser à bon compte l’ancienne souche dont elle n’avait pu honorer les «calls» précédents.
L'enquête annuelle réalisée pour l'Agence France Trésor montre des investisseurs largement satisfaits du fonctionnement du marché de la dette française, malgré la dégradation des finances publiques.
Les marchés d’actions européens sont orientés à la hausse et les taux des emprunts d’Etat américains baissent. Les investisseurs sont rassurés du choix de la modération à ce poste hautement stratégique.
La société de gestion française reprend quatre fonds et six personnes. Cela lui permet de porter ses encours à 3 milliards d’euros et de s’ancrer en Suisse.
La bonne performance des émetteurs à haut rendement repose en grande partie sur l’importance des flux dans la classe d’actifs. Malgré la baisse des taux et des spreads, certains noms ne rémunèrent pas suffisamment pour le risque fondamental.
Ils sont 94% à investir dans les actifs privés ou s’apprêtent à le faire, selon l’étude annuelle Schroders Global Investor Insights Survey, avec un intérêt particulier pour les opportunités liées à la transition énergétique.