L’Allemagne reste encore adepte du frein à l’endettement

Presque la moitié des Allemands sont favorables à l’idée d’autoriser une dette plus élevée pour des investissements ciblés dans les domaines de la défense, l’éducation, la santé et l’énergie. Mais les marges de manœuvre politiques ne sont pas forcément très larges.
olaf scholz
Le chancelier Olaf Scholz (SPD) a encore tenté d’activer la clause dérogatoire pour suspendre le frein à l’endettement dans le budget 2025, prétextant les changements géopolitiques liés aux élections américaines. En vain.  -  Photo European Union
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