Nos articles d'actualité et d'analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
Naviguer sur le marché obligataire corporate dans ces conditions peut s'avérer délicat. Mais une perspective stratégique peut l'emporter sur des vues plus tactiques.
Entre la baisse des taux et les très importants remboursements susceptibles d’être réinvestis par les investisseurs, le montant de nouvelle dette nette à émettre à moyen et long terme n’est pas insurmontable.
Les deux placements proposés ont attiré plus de 165 milliards de demande. Les tensions sur la dette française ont provoqué un écartement du spread de l’UE que les investisseurs ont voulu capturer.
Le phénomène concerne surtout les dettes subordonnées Additional Tier 1 (AT1) cette année, même si les banques gardent un niveau assez élevé d’émissions en devise américaine pour une question de diversification des investisseurs.
La «consolidated tape», rendue obligatoire par la révision des réglementations européennes MIF, est bien plus urgente pour les obligations que pour les actions, dont les prix et les volumes font déjà l’objet d’une certaine transparence post-négociation. Trois candidats se sont déclarés pour la fournir. La procédure de sélection débutera en janvier.
Les entreprises high yield ont dominé le marché primaire euro début octobre avec des opérations de refinancement d’acquisitions, de distribution aux actionnaires et des remplacements de loans par des obligations. Un renouveau pour le haut rendement.
Le Panel de L’Agefi reste positif avec un environnement de marché plutôt favorable à la classe d’actifs qui continue d’offrir des rendements intéressants. Mais certains commencent à réduire la voilure.
La crainte d’une riposte d’Israël à l’attaque de l’Iran fait bondir le pétrole et la volatilité des actions. Le dollar profite du double impact du risque géopolitique et des données favorables aux Etats-Unis.
Après un rebond de la volatilité mardi, avant l’attaque d’Israël par l’Iran, les investisseurs étaient attentistes, misant sur l’absence d’escalade. Le pétrole reste l’actif le plus touché par les tensions persistantes dans la région.
La plupart des marchés, hormis celui du pétrole, ont été positifs le mois dernier, et clôturent un bon troisième trimestre, malgré les soubresauts de l’été.
Les AT1 ne connaissent quasiment plus de cas de «non-remboursements» anticipés à date de «call». Les émetteurs et les investisseurs semblent globalement s’en satisfaire.
L’évolution de la réglementation a changé la donne pour les prêteurs en cas d’insolvabilité d'une entreprise. L’Af2i propose des pistes pour éviter de voir la valeur des créances détenues par les institutionnels passer à zéro.