Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
Les prêts au secteur public et aux ménages repartent un peu plus fort que ceux aux entreprises. Et ramènent à nouveau en positif l’évolution de la masse monétaire, après l’arrêt ponctuel de juillet.
La Fed est parvenue à baisser fortement ses taux tout en maintenant, avec le discours de son président, un équilibre sur les marchés financiers. Même si des questions demeurent sur les perspectives du marché de l'emploi américain, et donc sur le rythme des prochaines baisses de taux.
En août, la hausse des prix dans le pays est ressortie au même niveau qu'en juillet. La Banque d'Angleterre tient sa réunion de politique monétaire ce jeudi.
Si une détente monétaire est évidente, son ampleur, de 25 ou 50 points de base, fait l’objet de débats autant sur les marchés qu’en interne, au sein d’un Comité de politique monétaire déterminé à éviter la récession.
La hausse des prix est désormais estimée à 1,8% mais l'inflation harmonisée, qui permet une comparaison avec les autres pays européens, est confirmée à 2,2%.
Le Conseil des gouverneurs reste bloqué par sa volonté de voir dès aujourd’hui le résultat de ses actions, qu’il sait pourtant généralement plus décalé dans le temps.
L’indice des prix à la production est ressorti à un niveau plus élevé qu’attendu. Cela confirme la probabilité d'une baisse des taux de la Réserve fédérale de seulement 25 points de base le 18 septembre prochain.
La hausse des prix a ralenti en août aux Etats-Unis, mais l’inflation cœur est plus forte que prévu. La perspective de voir la banque centrale réduire ses taux de 50 points de base le 18 septembre s’éloigne.
La hausse des prix a ralenti en août aux Etats-Unis mais l’inflation cœur, qui exclut des éléments volatils, est plus forte que prévu. La perspective de voir la banque centrale réduire ses taux de 50 points de base en septembre s’éloigne.
Les économistes estiment que l’institution peut rester prudente, et garder une marge de manœuvre pour agir plus fort plus tard si nécessaire. Notamment si des facteurs exogènes comme la politique budgétaire viennent influencer la politique monétaire.
Le Job Report du 7 septembre a plutôt renforcé les mauvais chiffres du marché du travail. Les publications des composantes emplois des indices ISM ne sont guère réjouissantes pour les prochains mois.
La Banque centrale européenne devrait réduire ses taux. Apple dévoilera son nouvel Iphone et quelques entreprises publieront leurs comptes semestriels.
Trop attentive à sa «balance des risques» inflationnistes, la BCE doit prendre garde à ne pas trop tarder à un nouvel assouplissement monétaire, alerte le chef économiste d'Axa. Car si les consommateurs européens restent «en grève», trouver de nouveaux soutiens à la croissance va très vite devenir une urgence.
Même si l’indice ISM manufacturier a légèrement progressé en août, la tendance reste plutôt à la contraction du secteur industriel aux Etats-Unis, au mieux à sa stagnation.
La forte baisse du billet vert en août s’explique presque exclusivement par les attentes d’assouplissement de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
L’inflation de la zone euro a ralenti à 2,2% en août. Ce chiffre s’approche de l’objectif de 2% que s’est fixé la Banque centrale européenne. Une nouvelle baisse des taux en septembre semble acquise.