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Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
L’indice des prix à la consommation en France pour le mois d’août est ressorti à 1,9%, selon les données provisoires publiées par l’Insee. Cette bonne nouvelle est tempérée par une révision à la baisse de la croissance au deuxième trimestre par l'institut, qui passe de +0,3% à +0,2%.
La moisson 2024 a été catastrophique en France, fragilisant la filière qui ne profite même pas d’une remontée des cours car le reste du marché s’équilibre.
Une publication préliminaire inférieure aux attentes en Espagne a fait chuter l’euro-dollar de plus de 0,4% au-dessous de 1,108. Les premiers chiffres publiés par les Länder allemands vont dans le même sens.
Une étude présentée au symposium de Jackson Hole le 23 août 2024 développe un concept économique expliquant pourquoi l'activité aux Etats-Unis pourrait atterrir en douceur, contrairement aux prévisions plus alarmistes.
Les prêts aux entreprises ne repartent pas vraiment. De retour en zone positive pour toutes ses composantes en juin, la masse monétaire régresse même en rythme mensuel en juillet.
Il ne signale pas encore une récession, mais ne reflète plus du tout la situation de forte tension de mars 2022, au début du cycle de hausse des taux de la Fed.
Le gouverneur de la Banque du Japon s’est montré prudent à court terme devant le Parlement mais a affirmé qu’il poursuivrait les hausses des taux tant que les données, comme l’inflation, sont en ligne avec ses attentes.
Les salaires négociés ont progressé de 3,55% contre 4,74% trois mois plus tôt, renforçant la probabilité d’une baisse de taux de la BCE en septembre, d’autant que ce ralentissement devrait se poursuivre.
Les prix ont progressé un peu plus vite en juillet en raison d’une hausse dans l’énergie tandis qu’ils sont restés stables hors éléments volatils. Le marché anticipe deux baisses de taux d’ici à la fin de l’année.
L’indice des prix à la consommation a progressé moins que prévu en juillet sur un an à 2,9% et ressort en ligne en rythme mensuel (+0,2%). L’inflation core est au plus bas depuis 2021 également mais le rebond des prix des loyers assombrit la publication, avec une certaine hésitation des marchés.
L’indice des prix à la consommation a moins progressé que prévu au Royaume-Uni, en raison notamment d’une inflation des services plus faible. La livre sterling recule tandis que la probabilité d’une baisse des taux en septembre augmente.
Les exportations de Gazprom vers l’Europe ont augmenté de 26% au premier semestre, même si le producteur russe augmente lentement ses flux vers la Chine.
La croissance des prix a été stimulée par l’énergie mais l’inflation dans les services recule légèrement et suffisamment pour que le marché continue de parier sur une baisse de taux en septembre.
L’inflation sous-jacente PCE est ressortie vendredi légèrement au-dessus des attentes, mais pour le deuxième mois de suite proche du niveau seuil de 0,17% qui permet de tendre vers l’objectif de 2% en rythme annuel.
Le PIB américain a progressé de 2,8% en rythme trimestriel annualisé au deuxième trimestre, après 1,4% au premier trimestre. Mais un assouplissement monétaire de la Réserve fédérale en septembre reste le pari des marchés.
La masse monétaire confirme un retour en zone positive pour toutes ses principales composantes, mais cela reste timide, trop pour relancer l’investissement également nécessaire à la croissance.