Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
Une table ronde mettait en scène Jerome Powell et Christine Lagarde, aux côtés du banquier central brésilien Roberto Campos Neto, pendant laquelle ils ont réitéré leurs positions récentes.
Comme les marchés, les gérants et économistes du Panel Taux de L’Agefi continuent à prévoir deux baisses de taux à la BCE et à la Fed au second semestre.
La masse monétaire est revenue à un niveau positif pour ses principales composantes, mais la dynamique du crédit reste globalement très limitée malgré trois mois de très légère amélioration.
L'incertitude politique en France remet un coup de projecteur sur l’écartement des taux et le risque de fragmentation de l’Union monétaire. L’Eurosystème semble néanmoins plus apte à intervenir sur les taux italiens que sur les taux français dans la configuration de 2024.
Parachever l’union bancaire et faire celle des marchés des capitaux permettrait à la BCE de s’affranchir davantage de la politique monétaire américaine, estime Sylvain Broyer chez S&P Global Ratings.
La hausse des «spreads» français et italiens survient en plein milieu d’une période intense en volumes d'émissions nettes de dettes souveraines. Et ce, alors que la Banque centrale européenne (BCE) réduit son soutien aux Etats.
Le Conseil des gouverneurs n’a pas pu avoir un vote unanime sur sa première baisse de taux. L'Autrichien Robert Holzmann s’y est opposé à cause de la hausse des projections d’inflation.
La Banque centrale européenne commence à assouplir sa politique monétaire, en abaissant son taux de dépôts à 3,75%. Mais elle refuse de s'engager sur une trajectoire de baisse, alors qu'elle vient de relever sa prévision d'inflation pour 2024 et 2025.
Le consensus estime que l'institution de Francfort fera une pause dès juillet, et procédera ensuite à des baisses trimestrielles, à l’occasion de ses projections économiques.
Alors que les offres de reprise d'Atos doivent être remises avant le 31 mai à minuit, l'exposition de la banque centrale à la dette du groupe informatique interroge sur la gestion de son énorme portefeuille d'obligations d'entreprise.
La masse monétaire est revenue à un niveau plus neutre en rythme annuel, mais la dynamique du crédit s’est quelque peu affaiblie en avril, après deux mois consécutifs d’amélioration.
Le superviseur unique va réformer le processus d'évaluation annuel des banques européennes, selon des pistes dévoilées le 28 mai par sa présidente, Claudia Buch.