La banque centrale américaine a maintenu ses taux inchangés, mais ses gouverneurs laissent augurer des baisses de taux en 2024 plus importantes que ce qui était anticipé.
Le programme d’émissions augmentera bien à 285 milliards d’euros l’an prochain. L’AFT connaît à nouveau des taux de financements élevés qu’elle n’avait plus vus depuis 2008.
Le mauvais temps a affecté l’économie britannique qui est désormais stable depuis le début de l’année et risque la récession. Cette croissance décevante devra être prise en compte jeudi par la Banque d’Angleterre.
Après quelques heures de prolongations, le sommet sur le climat accouche d'une déclaration prévoyant notamment une «transition vers l'abandon des combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques».
La banque centrale britannique devrait laisser ses taux inchangés jeudi pour la troisième fois consécutive, mais elle s’attachera à atténuer les anticipations de baisse rapide des taux en 2024.
La Caisse d'amortissement de la dette sociale a présenté un nouveau programme à moyen-long terme de 20 milliards d’euros pour 2024. Ses contraintes augmentent de toutes parts.
Sur un an, les prix ont augmenté de 3,1% en novembre. L'indice sous-jacent progresse de 4%, comme en octobre. Des chiffres dont la banque centrale américaine devrait tenir compte lors de sa réunion du 13 décembre.
L’année 2023 restera celle des émetteurs à haut rendement malgré le ralentissement à venir. Mais les signatures les moins bien notées intègrent une forte dégradation de la conjoncture.
La banque centrale européenne se réunit le 14 décembre. Les marchés anticipent une première baisse de taux dès mars, et avant la Fed. Les économistes tablent plutôt sur juin.
La République tchèque, la Grèce, la Hongrie, la Pologne et la Turquie ont connu une bonne année 2023 à la différence d’autres marchés émergents. Nous expliquons pourquoi et évaluons les perspectives.
Les bons chiffres de l’emploi publiés pour novembre pourraient aider la banque centrale américaine à tempérer, ce mercredi, les anticipations nées de la baisse de l’inflation.
Les grandes valeurs de la technologie américaine ont régné en maître à Wall Street, mais elles évoluent dans une fourchette étroite depuis cet été, laissant la place à d’autres noms plus discrets.
Contrôler les multiples risques créés par cette technologie vouée à recomposer le fonctionnement des économies, sans pour autant brider l’innovation. Tel est l’objectif de la réglementation européenne de l’IA, première de la sorte à travers le monde.