La croissance la plus élevée des grandes économies, sa démographie et la progression des investissements font du marché actions indien l’endroit où il faut investir. Mais la valorisation et certains freins structurels posent question.
Le gouvernement a multiplié les réformes pour rendre le marché obligataire davantage investissable pour les étrangers, mais les barrières sont encore importantes.
Une grande majorité de classes d’actifs ont bondi en novembre dans l’espoir d’un assouplissement rapide des taux des banques centrales, réalisant leur meilleure performance mensuelle en 2023.
Les indices PMI révèlent un arrêt de la détérioration, sans montrer de signe de reprise et restant largement en territoire de contraction à l’image de l’Italie.
L’Arabie saoudite aurait reconduit son sevrage volontaire d’un million de barils par jour. Les autres membres et la Russie devraient contribuer pour un autre million.
Ce texte devrait permettre aux gestionnaires d'actifs et aux investisseurs de mieux appréhender la question de la «perte de la nature» dans les portefeuilles.
Selon Vincent Chaigneau, directeur de la recherche chez Generali Investments, il est trop tôt pour construire une allocation fondée sur une baisse des taux directeurs.
Sur un mois, les prix ont reculé de 0,2%. La consommation des ménages a baissé de 0,9% en octobre et le PIB s'est contracté de 0,1% au troisième trimestre alors que l'Insee prévoyait auparavant une hausse de 0,1%.
Exclusif - Un accord politique avait bien été trouvé, fin juin, sur la mise en œuvre des exigences prudentielles bancaires de Bâle 3 en Europe. Mais, fait très inhabituel, sa confirmation était bloquée depuis lors par les pays hébergeant les filiales des groupes bancaires. Explications.
La Bourse londonienne des métaux était poursuivie par Elliott Associates et Jane Street Global Trading, qui réclamaient 472 millions de dollars de dommages.
Dumb Money, qui sort ce mercredi 29 novembre dans les salles de cinéma françaises, ausculte les dessous de l'épisode GameStop. Le long-métrage ne fera que renforcer l'opinion négative du public vis-à-vis de la finance de marché et de ses représentants.
La croissance mondiale devrait s’établir à 2,7% l’an prochain après 2,9% cette année. Mais des risques demeurent pouvant provoquer un choc plus important.
Près de 50% de la population mondiale est concernée par une élection, avec un risque de volatilité à court terme mais aussi pour les déficits publics et les dettes.
Après l’avoir décalée de plusieurs jours, le cartel tiendra une réunion cruciale le 30 novembre. Une nouvelle baisse de production pour soutenir les prix est plus qu’incertaine. A moyen terme, la mainmise de l’Opep sur le marché pourrait même être menacée.
L’idée d’imposer aux banques une proportion minimale de transactions en dérivés compensées dans l’UE a divisé les eurodéputés. Le compromis final semble plutôt aller dans le sens du statu quo.
Le Congrès doit trouver des accords avant le 2 février pour éviter un «shutdown». Les négociations pourraient cependant être moins difficiles qu’en septembre.
Au-delà des arbitrages réglementaires, le défi pour Londres et Paris semble être de retrouver des marges de manœuvre par rapport aux places non européennes.