Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Tenant compte des spécificités de l’économie suisse, avec une monnaie et des gains de productivité forts, la BNS se dirige petit à petit vers des taux négatifs.
Le marché investment grade est au même niveau que l’an dernier et le high yield est un peu en retrait. La volatilité n’a eu pour le moment qu’un faible impact.
L’Autorité française des marchés financiers a dévoilé ses préconisations deux jours avant que la Commission européenne ne publie sa stratégie pour l’Union de l’épargne et de l’investissement.
Les conservateurs et les sociaux-démocrates allemands ont obtenu l’appui des Verts pour faire passer une réforme économique majeure nécessitant une majorité des deux tiers au parlement.
Les spreads des obligations d’entreprises en dollar se sont écartés en raison du risque de plus forte volatilité macroéconomique. Ce mouvement devrait s’accentuer.
Une offre de LCH SA existait déjà pour les acteurs du buy-side comme les fonds de pension notamment, mais le contexte budgétaire et le fort développement du marché auprès de tous les acteurs non bancaires va permettre d’ouvrir plus globalement la compensation sur le «repo».
Le Parlement a rejeté une motion de confiance présentée par le premier ministre Luis Montenegro soupçonné de conflit d’intérêts. De nouvelles élections, les troisièmes en trois ans, pourraient être convoquées en mai.
Hormis pour les dettes seniors préférées et surtout sécurisées, le marché primaire des dettes subordonnées a bien démarré l’année. Mais les investisseurs commencent à être un peu plus regardants sur les émetteurs plus «agressifs».
Les montants des émissions d’obligations haut rendement sont un quart plus faibles que l’an dernier. Une grande partie des refinancements a déjà été effectuée et le marché fait face à la concurrence des loans.
Les obligations à long terme de BP, ExxonMobil, Shell et TotalEnergies affichent des rendements supérieurs à celles d'entreprises notées dans la même catégorie. Le reflet d'interrogations de long terme sur leur modèle, selon ABN Amro.
En complément du plan de 800 milliards d'euros présenté vendredi par Bruxelles, les Vingt-Sept se dirigent-ils vers un emprunt commun pour financer l’industrie de défense ? L’idée, régulièrement évoquée, n’a jamais paru aussi plausible qu’aujourd’hui.
En quelques jours, les investisseurs sur les emprunts d’Etat de la zone euro ont perdu plus que le portage de ces obligations. Un nouveau choc sur les marchés obligataires qui restent très volatils. Les actions et le crédit en profitent, avec l’euro.
Trois gérants ont lancé, ces derniers mois, des ETF investis dans des titrisations de prêts à de grandes entreprises : les CLO. Les régulateurs ont mis des garde-fous, mais la complexité du montage reste un point d’attention majeur.
Les partis du futur gouvernement veulent investir plusieurs centaines de milliards d’euros dans la défense et les infrastructures. Le rendement de l’obligation allemande à 10 ans s’est envolé de 30 points de base avec cette annonce au-dessus des attentes. Peut-être un peu vite cependant.