Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
L’indice des prix à la consommation pour le mois de novembre décroît, pour le 2ᵉ mois consécutif.
Les bons chiffres de l’emploi publiés pour novembre pourraient aider la banque centrale américaine à tempérer, ce mercredi, les anticipations nées de la baisse de l’inflation.
La consommation avait porté l’économie en septembre, beaucoup moins en octobre.
Selon le Panel de L’Agefi, 16 prévisionnistes sur 26 voient la Fed baisser ses taux en mars ou en mai. Tandis que la BoJ débuterait son resserrement.
Les indices des prix PCE ont vu leur hausse ralentir en octobre, comme le laissaient penser les indices CPI un peu plus tôt dans le mois.
La hausse des prix dans la zone euro a ralenti à 2,4% en novembre, au lieu de 2,7% conformément aux prévisions.
Sur un mois, les prix ont reculé de 0,2%. La consommation des ménages a baissé de 0,9% en octobre et le PIB s'est contracté de 0,1% au troisième trimestre alors que l'Insee prévoyait auparavant une hausse de 0,1%.
L'indice des prix harmonisé a augmenté de 2,3% en novembre sur un an après +3,3% en octobre et +2,8% anticipé par les économistes.
Malgré les efforts des banques centrales, les perspectives d'inflation restent incertaines, ce qui donne encore de l’attrait aux «linkers».
Jeudi, la COP 28 s'ouvrira à Dubaï, l'Opep tiendra sa réunion reportée de quatre jours et la première estimation de l'inflation en zone euro pour novembre sera publiée.
Plusieurs données, dont la faible hausse des salaires, relativisent toutefois la portée de ces bons chiffres.
Mais les indices de confiance du Conference Board et de l’université du Michigan divergent très fortement depuis quelque temps.
L’inflation dans la zone euro a ralenti en octobre, conformément à l’estimation initiale.
Elle est passée de 6,7% en septembre à 4,6%. En France, la hausse des prix a été confirmée à 4%.
Les prix à la consommation sont restés stables en octobre outre-Atlantique. Cette publication inférieure aux attentes des économistes fait rebondir les marchés.
Les projections divergent de plus en plus sur les baisses de taux et l’atterrissage du chômage à moyen terme.
Quelques entreprises doivent encore publier leurs résultats trimestriels, notamment Walmart aux Etats-Unis ou Siemens, Infineon, Burberry et Alstom en Europe.
Le dernier rapport du Département américain de l’agriculture a mis en avant des stocks et une production russe en hausse.
A contre-courant des publications d’autres pays, l’inflation remonte en octobre, accentuant la pression sur la Norges Bank.
La rédaction s’est penchée sur les conséquences du vieillissement de la population sur l’économie, les marchés financiers et les investisseurs.