Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
La hausse des prix a atteint 5,2% le mois dernier selon les données définitives d'Eurostat, contre +5,3% estimé initialement.
Les marchés parient sur une pause, voire un arrêt des hausses de taux. Mais peut-être à tort.
L’indice des prix à la consommation a accéléré plus qu’annoncé en août sur un an à 4,9%, du fait du rebond des prix de l’énergie.
Le Conseil des gouverneurs a opté pour une dixième hausse des taux, peut-être la dernière. Il se ménage encore une marge de manœuvre malgré un communiqué plus accommodant.
La banque centrale estime que l'inflation devrait rester trop forte. Son taux de refinancement passe de 4,25% à 4,5%, mais la BCE suggère qu'il pourrait rester à ce niveau.
L’inflation en août a progressé de 3,7% annuellement et a enregistré la plus forte augmentation depuis juin 2022 en rythme mensuel, de 0,6%. Les marchés restent cependant confiants sur un statu quo de la Fed en septembre.
Les prix ont accéléré en août aux Etats-Unis, à 3,7%, mais l’indice de base a ralenti. Les marchés se montrent volatils.
Les mauvais chiffres d'activité rendent moins probable une dixième hausse de taux consécutive ce jeudi. Le débat devrait faire rage pour la suite.
Les investisseurs surveilleront également plusieurs indicateurs américains alors qu'Apple pourrait dévoiler une nouvelle version de son iPhone.
En données harmonisées, les prix ont progressé de 6,4% et ils ont augmenté de 6,1% en données nationales.
L'Insee relève sa prévision, alors que l’effet des termes de l’échange sur les exportations a permis une hausse surprise au deuxième trimestre.
Les taux longs sont revenus proches de leurs points hauts de cet été. Mais les économistes n’anticipent pas d’effet de second tour.
Un taux de chômage passé de 3,5% à 3,8% en août confirme la position des marchés qui anticipent de plus en plus un statu quo de la Fed pour les prochains mois.
Le rebond du mois d’août est tiré par l’énergie, ce qui laisse les marchés dubitatifs sur une hausse de taux de la BCE en septembre.
Les prix ont augmenté de 4,8% après 4,3% en juillet. L'indice harmonisé ressort en hausse de 5,7% après 5,1%.
La Fed de Kansas City, organisatrice de l'événement, s’est intéressée davantage aux changements structurels qu’aux thèmes d’actualité les plus brûlants.
Cela risque de ne pas être suffisant pour la BCE au vu du niveau élevé de l’inflation sous-jacente.
Les récoltes française et européenne ont été moins bonnes qu’attendu et doivent faire avec les risques géopolitiques.
L’indice des prix à la consommation a été enregistré en hausse à 2,6% en août, après 2,3% en juillet et 1,9% en juin.
Les postes vacants et la confiance des consommateurs ont fortement calé dans les indices publiés mardi.