Le gouvernement souhaite acquérir les métiers jugés stratégiques du groupe pour une valeur d'entreprise comprise entre 700 millions et 1 milliard d'euros. Une première offre non engageante devrait être émise d'ici début juin.
Fitch a déjà dégradé sa note l'année dernière tandis que la perspective de Moody's est stable. Le risque paraît surtout venir de S&P le 31 mai, juste avant les européennes.
Le responsable des activités dédiées aux institutions financières pour l’Europe, Dirk Lievens, a déménagé le mois dernier et compte doubler les effectifs de la division FIG dans la capitale française.
François Villeroy de Galhau a présenté sa lettre annuelle au président de la République. Le gouverneur de la Banque de France exhorte le gouvernement à respecter ses engagements de réduction des dépenses.
Selon le Haut Conseil des finances publiques, le chef de l'Etat a trop tardé pour réduire vraiment les déficits. Résultat, il se retrouve face à un mur qui va peser sur l'activité économique. Sa trajectoire budgétaire, avec une croissance optimiste, «manque donc de cohérence».
La réalisation du plan NextGen EU et l’Union des marchés de capitaux peuvent contribuer à soutenir les signaux suggérant un redressement de la productivité en ce début d'année.
En chiffrer le coût est l'une des clés du financement de la lutte contre le changement climatique. Cela reste un exercice d'approximation que l'I4CE cherche à cadrer dans son dernier rapport, intitulé «Anticiper les effets d’un réchauffement de +4°C : quels coûts de l’adaptation ?».
Parmi les grandes économies, une note souveraine au moins des Etats-Unis et de la France présente un risque de dégradation. Mais la forte demande pour ces dettes de haute qualité est une corde de rappel sur les marchés.
Il reste au gouvernement 10 milliards d’euros d’économies à trouver pour assurer la trajectoire budgétaire qu’il présentera à Bruxelles. La taxe sur les rachats d’actions refait surface.
L'agence, qui doit statuer sur la note de l'Hexagone le 26 avril, ne devrait pas dégrader le pays malgré le dérapage du déficit. Les verdicts de Moody's et S&P sont davantage attendus.
La hausse des prix en France a ralenti à 2,3% en mars, 2,4% en données harmonisées, selon les premières estimations de l'Insee. En février, la consommation des ménages est par ailleurs restée stable.
Pour continuer à préserver l’équilibre de ses résultats, le régime de retraite complémentaire du privé devra puiser régulièrement dans ses 78,5 milliards d'euros de réserves. L'année 2023 lui a laissé du répit.
L’ampleur du déficit public français en 2023 (5,5% du PIB) promet de faire des remous jusqu’à Bruxelles, où le Pacte de stabilité européen est en passe d’être réactivé, dans une version réformée. A quel traitement doit s’attendre l’Hexagone, lui qui fait désormais partie du groupe restreint des très mauvais élèves en Europe ?
Initialement annoncé à 4,9% pour 2023, le déficit public français devrait être plus proche de 5,6%. Un dérapage que les marchés n'ont pas sanctionné jeudi.