Repéré sur le web : Déménager sa résidence principale avant d’en conclure la vente
En matière fiscale, la résidence principale repose sur deux critères : l’immeuble doit correspondre au lieu de résidence habituelle et au centre des intérêts professionnels et matériels des membres du foyer fiscal.
Mais une personne physique peut-elle bénéficier de cette exonération d’impôt sur la plus-value si celle-ci a déjà quitté les lieux au moment de la vente de sa résidence principale ? Ne doit-on pas considérer qu’en quittant les lieux, l’immeuble perd sa qualité de résidence principale ?
C’est la question qui a été posée au Conseil d’état dans un arrêt du 7 mai 2014 (CE, 3e et 8e ss-sect., 7 mail 2014, n°356328).
Lire la suite sur le site du cabinet d’avocats Homère.
Un évènement L’AGEFI
TECH & FINANCE
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Les plus lus
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions