La saison de la chasse aux survaleurs est ouverte

Les dépréciations d’écarts d’acquisitions et d’incorporels se réinvitent dans les publications des comptes annuels, avec parfois des montants spectaculaires chez Atos, Casino ou Wordline. L’heure est de nouveau à la paille de fer pour les bilans.
le groupe numérique français Atos
Chez Atos, la facture précise des dépréciations n’est pas encore dévoilée  -  Photo Atos.
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