
Bel lorgne Yoplait
«Un fromager français peut en cacher un autre» souligne le quotidien, selon lequel Lactalis n’est plus le «seul candidat tricolore» pour le rachat des 50% de Yoplait mis en vente par PAI Partners. Bel est désormais sur les rangs.Contrairement à Lactalis, il ne dispose pas aujourd’hui d’activité yaourt. Le groupe aurait retiré un dossier d’information et discuterait d’un investissement conjoint avec le Fonds stratégique d’investissement. «Ironie de l’affaire», Lactalis détient 24% de Bel, le solde étant détenu par une holding familial. Les offres non liantes sont attendues début février. Une vingtaine de prétendants participeraient pour l’instant à la procédure, dont Nestlé.
Un évènement L’AGEFI
TECH & FINANCE
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Les plus lus
- La Banque Postale débarque le patron de sa banque privée
- A la Société Générale, Slawomir Krupa se prépare à la taylorisation des banques
- La Société Générale prend le risque d'une grève en France fin mars
- Une nouvelle restructuration à la Société Générale ne plairait pas aux investisseurs
- Le CCF a perdu une centaine de millions d’euros l’an dernier
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions