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La réserve stratégique promise par Donald Trump ne devait contenir que du bitcoin. Mais le nouveau président américain veut désormais l'étendre à d’autres actifs comme Ethereum, cardano, ripple ou Solana. Un élargissement qui soulève de nombreuses questions sur fond d’«America First» et de délit d’initiés.
Les implications en termes de politique monétaire sont équivoques, estime Hélène Baudchon, cheffe économiste adjointe, responsable Recherche Global Macro, au sein du département des études économiques Groupe BNP Paribas.
Confrontée à la menace renforcée d’un désengagement américain, l’Europe est contrainte d’accélérer les discussions sur les moyens d’assurer sa défense face à la Russie.
Le Panel Allocation consacre toujours plus de la moitié de son portefeuille aux actifs risqués. Cependant, près de la moitié des répondants ont réduit leur exposition aux actions.
Les menaces de tarifs douaniers de Donald Trump, les craintes sur la croissance américaine et les interrogations sur les valorisations de la tech font trembler les marchés.
Le Panel Actions anticipe une reprise des marchés américains et japonais, avec un potentiel de hausse respectivement de 8% et 10% à un an, contre 3% pour le CAC 40 et 2% pour l’Euro Stoxx 50.
Outre une sixième diminution du taux de dépôt jusqu’à 2,50%, attendue ce jeudi 6 mars, les discussions entre gouverneurs s’annoncent animées. Les faucons souhaitent rester prudents face à une inflation des services encore élevée.
Les prévisionnistes de L’Agefi ajoutent une baisse de taux à trois mois en zone euro, et une à six mois au Royaume-Uni, tout en diminuant leur prévisions de taux longs sur les Etats-Unis.
Si l’agence de notation a maintenu la note «AA-» de l’Etat français, la perspective est abaissée de stable à négative. Un avertissement mis sur le compte de finances publiques «sous pression» et d’un soutien politique «limité» en faveur des réformes.
L'inflation française est tombée sous 1% en février. La baisse des tarifs réglementés de l'électricité a contribué à faire ralentir la hausse des prix à un rythme inédit depuis 2021.
Le scandale autour du meme coin Libra, qui secoue le président argentin Javier Milei, est un coup dur avant les élections de mi-mandat cet automne et surtout pour poursuivre les réformes qui doivent asseoir ses réussites économiques.
L’inversion du «swap spread», devenue la norme aux Etats-Unis depuis quelques années, tend à se retourner avec l’élection de Donald Trump. Deux influences contraires jouent, la perspective de déficits accrus et la dérégulation bancaire attendue.
Les prêts aux entreprises ont redémarré, mais à un rythme inférieur en janvier qu’en décembre. En revanche, les prêts aux ménages poursuivent leur progression régulière. Le rythme serait quand même cohérent avec une croissance plus forte qu’attendu.
Cette feuille de route budgétaire, adoptée mardi à la Chambre des représentants malgré des dissensions entre élus républicains, reprend l’accord de principe qui devrait permettre les mesures phares souhaitées par le président Donald Trump. Mais elle a assez peu de chances d’aboutir.
Le gouvernement de Pedro Sanchez propose d’absorber une partie de la dette des communautés autonomes, issue de la crise financière de 2008. Une promesse à un parti indépendantiste catalan élargie à l’ensemble du pays. Si la mesure est adoptée, elle ne devrait pas avoir d’impact sur la note de l’Espagne.
Pascal Durand, l’ex-rapporteur de la directive CSRD, l’un des textes piliers de la finance durable que la Commission européenne a proposé de raboter mercredi 26 février, réagit en exclusivité auprès de L’Agefi.
Les autorités envisageraient d’injecter 400 milliards de yuans - soit 53 milliards d'euros - dans le haut de bilan des principaux établissements de crédit du pays, selon Bloomberg.
Elle a progressé moins vite qu’en 2023 mais s’élève désormais à 318.000 milliards de dollars. Le ratio dette sur PIB a augmenté pour la première fois depuis 2020. La dette mondiale devrait continuer à augmenter en 2025, notamment la dette publique.
La Commission européenne présentera mercredi une réforme visant à alléger les réglementations pesant sur les entreprises, au nom de la compétitivité. Les directives sur le reporting de durabilité et sur le devoir de vigilance devraient être sévèrement rabotées.
La crainte des tarifs douaniers au Canada et au Mexique ainsi que de nouvelles mesures pour empêcher la Chine de s’approvisionner en semi-conducteurs à haute performance, mais aussi le ralentissement de la consommation outre-Atlantique ont fait chuter les actions et les taux.
Les banques devraient encore réduire leurs émissions au format «durable» cette année, dans un contexte de volumes d’émissions plus faibles et de critères d’éligibilité à la nouvelle norme européenne «green bond standard» plus contraignants.
Arrivé en tête des élections législatives dimanche 23 février avec près de 29% des voix, le parti démocrate-chrétien de Friedrich Merz devra former, avec les sociaux-démocrates, une «grande coalition» majoritaire grâce au report des sièges des petits partis. De quoi assouplir mais pas révolutionner la politique budgétaire.
Les émissions d’obligations sont largement sursouscrites. Les deux opérations jumbo de Carlsberg et de Johnson & Johnson le même jour témoignent d’un marché très favorable. Lundi, TotalEnergies est revenu sur le marché euro pour la première fois depuis 2020 pour une transaction conventionnelle.
Ces deux événements majeurs ont redessiné l’économie mondiale et plongé les marchés dans un nouveau régime de taux plus élevés. Actions et obligations ont connu des fortunes diverses.
Les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales présents ces 26 et 27 février au Cap tenteront d’avancer sur les dossiers du moment sans l’administration Trump, voire contre elle.