Nos articles d’actualité et d’analyse sur la banque centrale américaine (la Réserve fédérale ou Fed), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
Après la pandémie, ces montants accumulés à cause d’un double effet confinement et chèques d’Etat ont fondu. Mais l’«effet richesse» lié à la hausse des marchés a pu compenser en partie ce mouvement aux Etats-Unis.
Les banques centrales doivent désormais jouer simultanément sur les taux et la taille de leur bilan, et composer ainsi avec la «plomberie» du fonctionnement opérationnel des marchés. Une situation complexe, pointe Vivien Levy-Garboua.
De nombreuses entreprises françaises telles Carrefour, Danone, Engie, Axa ou Air Liquide dévoileront leurs résultats annuels. Les "minutes" de la Fed seront aussi décortiquées.
L’indice PPI est venu boucler une semaine marquée par une inflation CPI plus haute que prévu aux Etats-Unis. Les marchés parient désormais sur une première baisse des taux le 12 juin.
Dans l’élaboration de ses «stress tests» dont les résultats seront publiés en juin, la banque centrale américaine retient l’hypothèse d’un choc économique particulièrement violent. Elle passera au révélateur neuf banques de plus qu'en 2023.
Les données de mardi sur l’inflation encore élevée aux Etats-Unis ont accéléré la hausse des taux. Celles de mercredi sur des prix à la production de décembre en baisse n’ont pas changé grand-chose.
Plusieurs grandes entreprises françaises publieront leurs comptes dont L'Oréal, TotalEnergies, Hermès, Kering, le Crédit Agricole ou encore la Société Générale.
L’économie américaine a créé 353.000 emplois en janvier, plus que la prévision la plus élevée, malgré les fortes révisions en hausse des mois précédents. Le salaire moyen progresse plus que prévu. Les marchés de taux corrigent.
La banque centrale américaine a maintenu ses taux directeurs inchangés mercredi, en indiquant qu'elle attendrait que le reflux de l'inflation se confirme pour les abaisser.
Avec deux mandats liés à la croissance et à l’inflation, le Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine aura plus de souplesse que la Banque centrale européenne pour baisser ses taux.
Comme la BCE jeudi, la banque centrale américaine devrait maintenir ses taux inchangés mais son discours sur le calendrier des futures baisses sera écouté avec attention.