Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
Le gouvernement présentera dans le courant du printemps ses choix définitifs concernant une éventuelle privatisation de Groupe ADP, a déclaré hier le commissaire aux participations d’Etat, Martin Vial lors d’une audition à l’Assemblée nationale. «Aucune décision n’a été prise par le gouvernement. Elles seront présentées au parlement dans le courant du printemps et les choix définitifs en matière d’opérations éventuelles de privatisation seront annoncés à cette occasion», a dit Martin Vial. Une privatisation éventuelle devrait être inscrite dans le projet de loi Pacte.
Le gouvernement présentera dans le courant du printemps ses choix définitifs concernant une éventuelle privatisation de Groupe ADP, a déclaré aujourd’hui le commissaire aux participations d’Etat, Martin Vial, soulignant qu’aucune décision n’avait encore été prise. «Aucune décision n’a été prise par le gouvernement. Elles seront présentées au parlement dans le courant du printemps et les choix définitifs en matière d’opérations éventuelles de privatisation seront annoncés à cette occasion», a dit Martin Vial lors d’une audition à l’Assemblée nationale.
Le spécialiste néerlandais des énergies renouvelables Eneco, dont la valorisation est estimée à quatre milliards d’euros, sera privatisé une fois que les actionnaires municipaux et la direction se seront mis d’accord sur ses conditions de cession. Dans un communiqué commun, les municipalités, qui contrôlent la société, et sa direction ont dit qu’elles «prendront des mesures à court terme en vue de la privatisation d’Eneco.» Eneco est détenu par 53 villes emmenées par Rotterdam, son premier actionnaire.
Le groupe public de loteries et de paris sportifs a mis fin en 2017 à la tendance baissière du nombre de clients. Il se dit prêt à une ouverture de son capital.
FDJ affiche sa croissance au moment où l’Etat réfléchit à l’ouverture du capital de la loterie. Les ventes ont atteint 15,1 milliards d’euros en 2017, soit 5,7% de plus qu’en 2016. Elles avaient déjà augmenté de 4,6% en 2016 par rapport à 2015. Les ventes numérisées ont quasiment doublé à 1,7 milliard d’euros. Le groupe public se dit ainsi bien engagé pour atteindre les objectifs de son plan stratégique FDJ 2020 lancé en 2015. Celui-ci prévoit notamment 500 millions d’euros d’investissements, dont la moitié dans l’informatique ainsi que 180 millions pour moderniser le réseau et lancer de nouveaux jeux. Selon le groupe, à mi-parcours de ce plan, «la tendance baissière du nombre de clients constatée lors du lancement de FDJ 2020 est endiguée».
BNP Paribas et le cabinet d’avocats Weil, Gotshal & Manges, mandatés par l’Agence des participations de l’Etat (APE) pour travailler sur l’ouverture du capital de la Française des Jeux (FDJ), rendront leur rapport d’ici à la mi-février, ont déclaré hier à Reuters deux sources proches du dossier. Selon l’une d’entre elles, l’Etat pourrait récolter entre 600 et 800 millions d’euros s’il venait à céder 30% du capital auprès d’un opérateur de contenu, de casino, une loterie étrangère, ou plusieurs d’entre eux réunis en consortium. Le scénario d’une introduction en Bourse est toujours sur la table, ont ajouté les deux sources.
BNP Paribas et le cabinet d’avocats Weil, Gotshal & Manges, mandatés par l’Agence des participations de l’Etat (APE) pour travailler sur l’ouverture du capital de la Française des Jeux (FDJ), rendront leur rapport d’ici la mi-février, ont déclaré aujourd’hui à Reuters deux sources proches du dossier. Selon l’une de ces sources, l’Etat pourrait espérer récolter entre 600 et 800 millions d’euros s’il venait à céder 30% du capital auprès d’un opérateur de contenu, de casino, une loterie étrangère, ou plusieurs d’entre eux réunis en consortium. Le scénario d’une introduction en Bourse est également toujours sur la table, ont ajouté les deux sources.
L’Etat n’a pas encore pris de décision sur la privatisation de Groupe ADP, le gestionnaire des aéroports de Paris, ou de la Française des jeux (FDJ), a affirmé hier le patron de l’Agence des participations de l’Etat, Martin Vial. Interrogé sur France Info sur la possibilité de céder des titres de Groupe ADP, dans lequel l’Etat détient 50,63% du capital, M. Vial a répondu qu'«aucune décision et aucune orientation n'(avaient) été prises par le gouvernement». Sur la FDJ, détenue à hauteur de 72% par l’Etat, il a aussi dit qu'«aucune décision» n’avait été prise.
Thai Beverage est le seul candidat a avoir soumis une offre d’achat de la totalité des actions proposées par l’Etat vietnamien dans le cadre de la privatisation pour un montant de près de 5 milliards de dollars (4,25 milliards d’euros) de Sabeco, le premier brasseur du pays. L’Etat compte céder près de 54% du capital. «Le prix de l’offre de Vietnam Beverage ne sera finalisé et notifié au ministère (...) que le 18 décembre 2017», a indiqué Thai Bev. Le gouvernement a fixé un prix de vente minimum de 320.000 dongs (11,97 euros) par action pour Saigon Beer Alcohol Beverage Corporation (Sabeco), dont le cours en Bourse a presque triplé à 309.200 dongs depuis sa première cotation il y a un an.
Renouveau. Elle a tangué mais pas coulé, la banque allemande HSH Nordbank, connue pour le financement du transport maritime qui avait failli causer sa perte, avant qu’elle ne soit reprise en 2009 par les Länder de Hambourg et du Schleswig-Holstein. Sauvetage approuvé par Bruxelles sous condition d’une privatisation avant février 2018. A l’approche de cette échéance, l’opération semble bien partie, avec plusieurs offres fermes selon les vendeurs. Les fonds Apollo Global Management, Cerberus Capital Management et JC Flowers ont officialisé leur intérêt. La cible a soigné son profil : « Notre stratégie commerciale et nos efforts de restructuration au cours des dernières années portent visiblement leurs fruits », a estimé le directeur général Stefan Ermisch, quand la banque a publié un résultat imposable semestriel à fin juin stable, à 173 millions d’euros.
Une privatisation de la compagnie pétrolière brésilienne Petroleo Brasiliero (Petrobras) est possible à terme, a déclaré lors d’une interview le ministre des Mines et de l’Energie Fernando Coelho Filho, faisant une intervention remarquée au beau milieu d’une polémique sur les ventes d’actifs publics dans le pays. S’agissant de la privatisation de la compagnie d'électricité Centrais Eletricas Brasileiras, le ministre a dit que la transaction inclurait également les filiales Furnas Centrais Electricas et Companhia Hidro Eletrica do Sao Francisco.
Une privatisation de la compagnie pétrolière brésilienne Petroleo Brasiliero (Petrobras) est possible à terme, a déclaré lors d’une interview le ministre des Mines et de l’Energie Fernando Coelho Filho, faisant ainsi une intervention remarquée au beau milieu d’une polémique sur les ventes d’actifs publics dans le pays. S’agissant de la privatisation de la compagnie d'électricité Centrais Eletricas Brasileiras, le ministre a dit que la transaction inclurait également les filiales Furnas Centrais Electricas et Companhia Hidro Eletrica do Sao Francisco.
Athènes a bouclé hier la vente de l’opérateur ferroviaire Trainose à Ferrovie Dello Stato et espère que la compagnie italienne investira dans les infrastructures grecques vieillissantes. Cette vente rapportera 45 millions à la Grèce et la compagnie italienne investira 500 millions d’euros supplémentaires dans les infrastructures ferroviaires, a déclaré le Premier ministre grec Alexis Tsipras à l’occasion d’un sommet gréco-italien à Corfou. «C’est un investissement très important qui marque le début d’une série d’investissements italiens très sérieux dans l'économie grecque», a-t-il dit lors d’une conférence de presse commune avec son homologue Paolo Gentiloni. Sans cette vente, Trainose aurait dû restituer plus de 700 millions d’euros d’aides publiques à l’Union européenne, ce qui l’aurait acculé à la faillite. Dans le cadre de son plan de sauvetage, la Grèce s’est engagée à procéder à de nombreuses privatisations dont elle espère retirer six milliards d’euros d’ici à 2018.
Le ministère des Finances japonais a lancé lundi la vente de 990,1 millions d’actions Japan Post, le groupe bancaire et d'épargne mis en Bourse de 2015. Au dernier cours de clôture, le placement pourrait rapporter 1.300 milliards de yen (10 milliards d’euros) à l’Etat. Ce produit servira à alimenter le fonds de reconstruction mis en place après le tsunami de 2011. Les titres sont essentiellement proposés aux investisseurs particuliers. Le placement sera achevé le 25 septembre. Daiwa, Nomura et Goldman Sachs sont les coordinateurs globaux de l’opération.
Le placement par l’Etat japonais d’une participation dans Japan Post Holdings est envisagé dès ce mois-ci, le premier du genre depuis la mise en Bourse du groupe en 2015, a déclaré vendredi à Reuters une source gouvernementale. Le ministère des Finances rencontrera des banques aujourd’hui pour en discuter. Le montant de l’opération n’est pas précisé. Japan Post déclaré que le calendrier d’un nouveau placement n’a pas été fixé.
Le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire a indiqué samedi qu’il annoncerait dans «quelques semaines» la privatisation de certaines entreprises. «Je vais annoncer dans quelques semaines que nous allons privatiser certaines entreprises pour avoir de l’argent afin de financer l’innovation», a déclaré Bruno Le Maire lors du forum européen d’Ambrosetti en Italie. Sans citer de noms, il a évoqué «certaines compagnies qui ne sont pas stratégiques pour l’Etat français», a-t-il ajouté, sans citer de noms.
Le placement par l’Etat japonais d’une participation dans Japan Post Holdings est envisagé dès ce mois-ci, le premier du genre depuis la mise en Bourse du groupe en 2015, a déclaré vendredi à Reuters une source gouvernementale au fait du dossier. Le ministère des Finances rencontrera des banques lundi pour en discuter. Le montant de l’opération n’a pas été précisé. Une porte-parole de Japan Post a déclaré, sans autre précision, que le calendrier d’un nouveau placement n’a pas été fixé.
La privatisation de l'énergéticien brésilien Eletrobras pourrait rapporter jusqu'à 20 milliards de reais (5,35 milliards d’euros), a déclaré le ministre brésilien des Mines et de l’Energie à Reuters, ajoutant que l’opération pourrait s’accompagner d’une augmentation de capital. «Nous proposons l'émission d’actions nouvelles et ce faisant, les actions existantes pourraient être diluées», a-t-il déclaré lors d’un entretien, lundi dans la soirée, en précisant qu’un investisseur pourrait ne pas être autorisé à acquérir une participation de contrôle. L’Etat fédéral détient 41% du capital d’Eletrobras et la majorité des droits de vote. La banque publique BNDES a environ 20% des actions ordinaires et 14% des actions préférentielles.
Les différents aéroports de l’Arabie saoudite vont tous être confiés au fonds souverain du royaume, le Public Investment Fund, avant d’être privatisés, a annoncé l’agence de presse saoudienne SPA, citant un adjoint au directeur financier de l’autorité civile de l’aviation. Le calendrier des privatisations et de la cession de participations dans les aéroports n’a pas été divulgué, mais l’Arabie saoudite aurait déjà retenu les services de Goldman Sachs pour superviser la vente d’une partie du capital de l’aéroport de Riyad.