Chaque semaine, les analyses et prévisions des économistes et gestionnaires d'actifs interrogés par L'Agefi sur les taux, changes, actions, crédit et allocation d'actifs.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur les grands opérateurs du post-marché (Euroclear, Clearstream, Securities Services, Caceis), sur la conservation de titres, le règlement-livraison.
L’Autorité européenne des marchés financiers (Esma) a reconnu vendredi, provisoirement, Euroclear UK & Ireland Limited (EUI), le dépositaire central de titres (CSD) établi au Royaume-Uni, comme un CSD de pays tiers (TC-CSD) après la fin de la transition avant le retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE).
LCH a lancé lundi la compensation des options sur indices de crédit américains CDX investment grade 5Y (IG) et CDX high yield 5Y (HY). Cette extension s’appuie sur l’offre existante de compensation d’options sur indices de crédit de LCH CDSClear, qui a été la première chambre de compensation à proposer la compensation d’options sur indices de crédit en 2017. «Nous avons réussi à créer une liquidité significative sur ces produits, avec plus de 64 milliards d’euros d’options iTraxx compensées en 2020 à ce jour. Nous sommes heureux de bénéficier du soutien solide des courtiers pour ce type de compensation», a déclaré Frank Soussan, directeur de CDSClear et EquityClear.
LCH a lancé lundi la compensation des options sur indices de crédit américains CDX investment grade 5Y (IG) et CDX high yield 5Y (HY). Cette extension s’appuie sur l’offre existante de compensation d’options sur indices de crédit de LCH CDSClear, qui a été la première chambre de compensation à proposer la compensation d’options sur indices de crédit en 2017.
L’Autorité européenne des marchés financiers (Esma) a ajouté mardi les plates-formes britanniques à ses listes des plates-formes de pays tiers (TCTV) sur les questions de transparence post-négociation et de limites de position dans le cadre de MIF 2. Après un avis sur l’impact du Brexit sur l’application de MiFID 2/MiFIR, le régulateur les a évaluées positivement, et donc ajoutées aux deux listes : pour 145 plates-formes sur la transparence post-négociation, et 14 sur les limites de position. A partir du 1er janvier, les entreprises d’investissement de l’Union européenne (UE) ne seront plus tenues de rendre publiques les transactions via un intermédiaire de déclaration post-trade (APA) européen si elles ont été exécutées sur l’une des plates-formes de négociation britanniques de la liste.
L’Autorité européenne des marchés financiers (Esma) a ajouté mardi les plates-formes britanniques à ses listes des plates-formes de pays tiers (TCTV) sur les questions de transparence post-négociation et de limites de position dans le cadre de MIF 2. Après un avis sur l’impact du Brexit sur l’application de MiFID 2/MiFIR, le régulateur les a évaluées positivement, et donc ajoutées aux deux listes : pour 145 plates-formes sur la transparence post-négociation, et 14 sur les limites de position.
L’Autorité européenne des marchés (Esma) s’est entendue lundi avec la Banque d’Angleterre (BoE) sur la coopération nécessaire pour profiter du délai de dix-huit mois d’équivalence automatique accordé au-delà du 31 décembre 2020 par la Commission européenne (CE) aux chambres de compensations (CCP) britanniques afin de valider ou non leur reconnaissance ultérieure en tant que CCP de pays tiers éligibles aux services dans l’Union européenne (UE). La révision du règlement Emir sur ce sujet ayant été publiée au JO de l’UE le jour même de la décision de la CE, le régulateur européen a provisoirement classé ICE Clear Europe Ltd et LCH Ltd en CCP de pays tiers de catégorie 2 (systémiques mais équivalentes au nom d’exigences spécifiques) ; et LME Clear Ltd de catégorie 1 (non systémique et équivalente selon les mêmes exigences qu’aujourd’hui). Et il prendra ainsi son temps pour examiner en profondeur les exigences spécifiques d’ici au 30 juin 2022. Pas sûr que cela renforce l'«ultimatum» de la CE au retour de la compensation en euro.
La Commission européenne (CE) a adopté lundi une décision d’exécution accordant 18 mois supplémentaires aux chambres de compensations (CCP) britanniques pour bénéficier d’une équivalence temporaire avec les CCP européennes, et donc aux acteurs des marchés financiers, afin de réduire progressivement leur exposition aux CCP britanniques. La forte dépendance de la compensation des produits et dérivés de taux en euro aux services basés au Royaume-Uni soulève d’importants problèmes pour la supervision et la stabilité financière de l’Union européenne (UE). La CE, qui a adopté le 14 juillet un acte délégué sur la supervision des CCP de pays tiers publié ce jour au JO de l’UE, encourage donc l’industrie à s’organiser pour ramener ces compensations sur le continent après la sortie définitive du Royaume-Uni en 2021.
La Commission européenne (CE) a adopté lundi une décision d’exécution accordant 18 mois supplémentaires aux chambres de compensations (CCP) britanniques pour bénéficier d’une équivalence temporaire avec la CCP européennes, et donc aux acteurs des marchés financiers pour réduire progressivement leur exposition aux CCP britanniques. La forte dépendance de la compensation des produits et dérivés de taux en euro aux services basés au Royaume-Uni soulève d’importants problèmes pour la supervision et la stabilité financière de l’Union européenne (UE). La CE, qui a adopté le 14 juillet un acte délégué sur la supervision des CCP de pays tiers publié ce jour au JO de l’UE après les trois mois d’examen réglementaires, encourage donc l’industrie à s’organiser pour ramener ces compensations sur le continent après la sortie définitive du Royaume-Uni en 2021, mais tout en souhaitant éviter une rupture avec les services britanniques proposés, ce qui serait préjudiciable aux acteurs de l’UE.
Le dépositaire central britannique Crest était à nouveau en proie lundi aux problèmes techniques qui ont perturbé son fonctionnement le vendredi 11 septembre. Détenu par Euroclear depuis 2002, Crest permet le règlement et la livraison des actions et des emprunts d’Etat britanniques, ainsi que des actions irlandaises. Ses problèmes ont forcé la Banque d’Angleterre à reporter par précaution une opération d’achat de Gilts, prévue ce lundi pour 1,5 milliard de livres. La BoE doit procéder ce mardi à une adjudication d’emprunts d’Etat de 4,5 milliards de livres.
Le dépositaire central britannique Crest était à nouveau en proie lundi aux problèmes techniques qui ont perturbé son fonctionnement le vendredi 11 septembre. Détenu par Euroclear depuis 2002, Crest permet le règlement et la livraison des actions et des emprunts d’Etat britanniques, ainsi que des actions irlandaises.
Goldman Sachs a annoncé jeudi qu’il proposerait prochainement des services de compensation (clearing) pour des dérivés de changes, un produit jusqu’à présent traité essentiellement de gré à gré. La banque américaine utilisera pour cela la plate-forme londonienne de LCH, ForexClear.