Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
Malgré une perte nette de 1,5 milliard d’euros liée à de nouvelles dépréciations sur l’acier, le conglomérat allemand a dégagé un cash-flow libre positif durant l’exercice écoulé.
La banque publique a réalisé cette cession avec une décote d'un peu moins de 2% sur le cours de clôture du 14 novembre. Elle conserve 5,2% du capital et son représentant au conseil d'administration.
Depuis plusieurs années, le groupe français de technologie et de défense a opéré un virage stratégique et a développé de nouveaux pans d'activité, comme la cybersécurité, offrant des marges confortables. Il ne compte pas en rester là. Dans un environnement où les budgets de défense en Europe pourraient augmenter, Thales veut faire passer ses investissements de recherche et développement de 4 à 5 milliards par an d'ici à 2028.
Le groupe de matériel ferroviaire a dégagé un résultat net de 53 millions d'euros au premier semestre de son exercice 2024-2025. Les commandes sont au rendez-vous, ce qui améliore son profil de trésorerie.
Le fabricant de câbles a dévoilé mercredi ses objectifs pour 2028, marqués par le renforcement de ses positions dans l'électrification et l'amélioration de sa performance financière.
En bonne voie, la transformation en spécialiste de l'électrification reste entravée par le désengagement plus lent que prévu de certaines activités historiques. Le groupe dirigé par Christopher Guérin tient une journée investisseurs ce 13 novembre.
En congédiant son ministre des Finances opposé à l’idée d’assouplir la règle budgétaire, le chancelier Olaf Scholz a défait la coalition créée en 2021. Il entraîne le pays dans une nouvelle phase d’incertitude, au moins jusqu’aux prochaines élections.
Le spécialiste des infrastructures électriques a légèrement réduit ses perspectives de marges pour 2024. Le rythme d’acquisitions reste élevé mais peine à compenser la panne de croissance du tertiaire et du résidentiel.
Les dirigeants anticipent toujours une légère croissance des revenus sur l'ensemble de l'année mais ajustent leur prévision de marge opérationnelle. L'action chute.
Le directeur général Peter Herweck a été débarqué après seulement dix-huit mois et remplacé par Olivier Blum. Une «surprise majeure» pour bien des analystes et investisseurs, et l'échec de la «transition en douceur» annoncée à l'époque par le président Jean-Pascal Tricoire.
En dépit de chiffres conformes aux attentes au 3e trimestre 2024, le producteur franco-italien de puces révise de nouveau sa copie pour l’exercice. Il déplore une faible demande dans l’industrie et l’automobile.
Le conglomérat allemand envisage de réaliser cette opération en 2026. Il demeure confiant sur les négociations menées avec Daniel Kretinsky concernant son pôle acier.
Les indices PMI «flash» confirment une poursuite globale de la contraction, dans la continuité de la baisse constatée depuis juin si on ne compte pas le mois d’août dopé par le tourisme et les JO en France.
Dans un premier temps, le groupe français mettra la main sur 75% de Motivair Corporation, un spécialiste du refroidissement liquide et des solutions avancées de gestion thermique pour les systèmes de calcul haute performance.
Le sidérurgiste luxembourgeois prendra pour un dollar symbolique le contrôle total de leur coentreprise Calvert si le groupe japonais s’empare de US Steel.