Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’univers des cryptomonnaies (bitcoin, ethereum...), crypto-actifs, NFT (non fungible token) et la manière dont les cryptos affectent le secteur financier traditionnel.
Le mois dernier, le sénateur Hervé Maurey avait proposé, sous l’impulsion de l’Autorité des marchés financiers, de rendre obligatoire l’agrément PSAN pour tous les acteurs n’étant pas enregistrés avant le 1er octobre. Il a finalement été abandonné par les députés qui ont voté en faveur d’un enregistrement renforcé, amendement qui avait les faveurs de l’Association pour le développement des actifs numériques (Adan). «L’Adan attend que la suite de la navette parlementaire confirme la sagesse de ce choix», a déclaré l’Association qui réunit plus de 200 acteurs en France et en Europe. Ces amendements, proposés dans le cadre d’une modification du Code monétaire et financier, étaient débattus dans le périmètre du projet de loi DDADUE (Diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne).
Le texte en débat, influencé par l’AMF, vise à mettre fin à l'enregistrement PSAN après le 1er octobre 2023. Une grande partie du secteur dénonce une surréaction politique.
Devant la Commission des Affaires économiques et monétaire du Parlement européen, le membre du directoire de la BCE Fabio Panetta, en charge du dossier de l’euro numérique (MNBC), a déclaré que ce dernier «ne sera jamais une monnaie programmable». Concrètement, si cette monnaie numérique de banque centrale poussée par la BCE voit le jour, il n’y aura pas de restriction dans la manière de le dépenser. «Les banques centrales émettent de la monnaie, pas des bons», a tenu a précisé Fabio Panetta. Il y a une semaine, l’Eurogroupe s’est montré défavorable à un euro numérique «programmable». Cette question de la programmabilité fait partie des inquiétudes souvent mises en avant par les détracteurs des MNBC qui conférait un pouvoir trop important aux autorités sur les citoyens. C’est à l’automne que le Conseil des gouverneurs de la BCE décidera de passer ou non à l’étape supérieure, appelée pilote.
Un bureau du Trésor américain a cité la plateforme d’échange la plus populaire du monde comme étant l’une des principales contreparties en bitcoins de Bitzlato, dont le fondateur a été arrêté.
Pour Vincent Boy, analyste marché chez IG, l’optimisme des investisseurs est démesuré. Le marché des cryptos doit encore être assaini avant de repartir à la hausse sous peine de voir de nouveaux scandales arriver.
Tilvest permet désormais à ses partenaires banques privées, Family offices et gestionnaires de patrimoine de suivre l’évolution du patrimoine crypto de leurs clients directement depuis leur espace O2S.
Baptisée Blockchain Business School, cette école lancée par PyratzLabs, incubateur français dont les start-ups dans son giron ont levé 34 millions d’euros en 2022, va proposer une formation de six heures par semaine pendant trois mois à partir de mars. Le parrain de la première promotion sera Sébastien Borget, co-fondateur du métavers The Sandbox. Le coût de cette formation s’élève à 4.000 euros. L’école Alyra Blockchain créée en 2019 dispense également une formation du même type. «L’un des buts de l’école est de fournir un diplôme qui va venir valider un certain nombre d’acquis pour certifier d’un socle de connaissances sur la crypto et la blockchain, ce qui est encore assez dur à trouver aujourd’hui. Actuellement, il y a une véritable pénurie de main d’œuvre dans ce secteur», explique Bilal El Alamy, cofondateur et PDG de PyratzLabs.
Cette opération a été effectuée avec le plus grand protocole de finance décentralisée MakerDAO. Le PDG de SG Forge Jean-Marc Stenger espère créer un précédent pour ouvrir la voie à la standardisation.
Baptisée Blockchain Business School, cette école lancée par PyratzLabs, incubateur français dont les start-ups dans son giron ont levé 34 millions d’euros en 2022, va proposer une formation de six heures par semaine pendant trois mois à partir de mars. Le parrain de la première promotion sera Sébastien Borget, co-fondateur du métavers The Sandbox. Le coût de cette formation s’élève à 4.000 euros. L’école Alyra Blockchain créée en 2019 dispense également une formation du même type.
Les instances européennes poussent pour la mise en place d’une monnaie numérique de banque centrale. Un lancement qui suscite plus d’interrogations aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni.
Selon CNBC, les deux fondateurs du hedge funds Three Arrows Capital (3AC) qui a fait faillite en juillet ont l’intention de lancer une plateforme d’échange crypto qui se nommerait GTX. Kyle Davies et Su Zhu auraient réussi à lever en amorçage 25 millions de dollars avec un objectif de mise sur le marché fin février. Avant sa faillite, 3AC était l’un des fonds exclusivement crypto parmi les plus importants de l’écosystème avec l’équivalent de 10 milliards de dollars d’actifs sous gestion mi-juin selon le cabinet Nansen. La chute du fonds avait été controversée notamment parce que ses deux fondateurs sont accusés d’avoir «fourni de fausses informations» au régulateur singapourien (MAS) et pour avoir dépassé son plafond autorisé d’actifs sous gestion «entre juillet et septembre».
Selon CNBC, les deux fondateurs du hedge funds Three Arrows Capital (3AC) qui a fait faillite en juillet ont l’intention de lancer une plateforme d’échange crypto qui se nommerait GTX. Kyle Davies et Su Zhu auraient réussi à lever en amorçage 25 millions de dollars avec un objectif de mise sur le marché fin février.
Alors que les liquidateurs de FTX peinent toujours à établir avec exactitude le bilan comptable de la plateforme, son fondateur Samuel Bankman-Fried conteste les chiffres publiés par les autorités.
La société d’analyse blockchain Chainalysis a évalué l’efficacité des sanctions américaines à l’encontre d’entités crypto à l’activité jugée criminelle. Certaines s’en sont mieux sorties que d’autres.
Le courtier en faillite depuis le 5 juillet dernier a trouvé un accord avec Binance pour le rachat de ses crypoactifs conclu en décembre. Cet accord est encore soumis à une approbation définitive du Comité américain sur les investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS) qui mène actuellement une enquête pour sécurité nationale. Selon Reuters, l’accord entre Voyager et Binance US, l’entité de Binance régulée aux États-Unis qui va racheter les actifs, a reçu un premier feu vert ce 10 janvier dans le cadre de cette enquête. Dans un document judiciaire publié le 30 décembre, le CFIUS a déclaré que ce processus «pourrait affecter la capacité des parties à réaliser les transactions, le calendrier de réalisation ou les conditions pertinentes». Binance est régulièrement visée par des accusations alléguant de l’influence des autorités chinoises sur sa gouvernance. Des accusations à chaque fois réfutées par son PDG Changpeng Zhao, citoyen canadien d’origine chinoise.
L'opérateur ne repartira pas sur une offre similaire mais travaille à une autre solution de rendement pour remplacer les livrets crypto, victimes de l’effet domino lié à la faillite de la plateforme FTX.