Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’univers des cryptomonnaies (bitcoin, ethereum...), crypto-actifs, NFT (non fungible token) et la manière dont les cryptos affectent le secteur financier traditionnel.
La Banque Syz a annoncé le lancement d’un service de dépôt et d’exécution de crypto-monnaies pour ses clients suisses et internationaux. La nouvelle offre permettra de traiter quatre crypto-monnaies pour les clients : Bitcoin (BTC), Ether (ETH), Polygon (Matic) et Chainlink (Link). Syz a choisi Taurus et sa solution de dépôt Taurus-Protect pour sécuriser les crypto-monnaies. Pour le trading, la Banque Syz a sélectionné «des plateformes d’échange de premier plan qui offrent des services à la hauteur des standards élevés de diligence et d’excellence de la banque». La Banque Syz a également mis en place une équipe d’experts et affirme «garantir que les actifs numériques soient traités avec le même niveau de rigueur que les actifs traditionnels».
Selon le Financial Times, l'intermédiaire doit 900 millions de dollars à Gemini, la plateforme des frères Winklevoss. La gestion globale de sa maison mère DCG interroge.
La plateforme d’échange de cryptomonnaies a fustigé la décision d’Apple qui souhaite taxer les transactions de NFT (jeton non fongible) à hauteur de 30% via son AppStore.
TP Icap, le plus important courtier interdealer mondial, a annoncé jeudi que sa plateforme Fusion Digital Assets était désormais enregistrée en tant que fournisseur de services cryptos auprès de la Financial Conduct Authority (FCA), qui régule le secteur financier au Royaume-Uni. Fusion Digital Assets offrira un marché de gros de gré à gré (OTC) pour le commerce au comptant d’actifs numériques ainsi qu’une infrastructure post-marché qui fournira des services de traitement direct et de compensation des paiements à destination des investisseurs institutionnels. Cette plateforme sera gérée par la division Tullett Prebon du groupe.
BlackRock avait investi 24 millions de dollars dans la plateforme aujourd'hui en faillite. Pour son PDG Larry Fink, cet effondrement ne remet pas en cause le potentiel des cryptos.
BlackRock avait investi 24 millions d’euros dans la plateforme FTX aujourd’hui placée sous le régime des faillites américain. Pour son PDG Larry Fink, cet effondrement ne remet pas en cause le potentiel des cryptos.
L’information est tombée en pleine débâcle des plateformes de trading crypto. Le gérant américain Fidelity vient de lancer sa propre offre de trading de crypto pour particuliers, a appris le média spécialisé The Block. La firme a envoyé lundi un e-mail en ce sens à des clients qui s’étaient inscrits sur une liste d’attente pour ce service. Les utilisateurs devront d’abord ouvrir un compte de courtage traditionnel chez Fidelity avant d’accéder à l’offre crypto. Les ordres seront exemptés de frais de courtage sur le bitcoin et l’éther. Les clients ont été prévenus que la valorisation des actifs digitaux pouvait « fluctuer rapidement et de manière conséquente ».
La multiplication des faillites et des fraudes dans l’univers de la blockchain et des cryptos aiguise les appétits de nouveaux acteurs du « litigation finance ».
Le 29 novembre, la plateforme d’échange de cryptomonnaies cotée en Bourse Coinbase a annoncé que son portefeuille cesserait de prendre en charge les cryptomonnaies Bitcoin Cash (BCH), l’ancien jeton de la blockchain Ethereum ‘Ethereum Classic’ (ETC) mais aussi celui de Ripple (XRP) en raison de sa «faible utilisation». Même si cette décision ne concerne que le portefeuille (Wallet) de Coinbase et non la plateforme en elle-même, ce délisting montre le désintérêt croissant pour le XRP et est un coup dur porté à un projet qui avait le vent en poupe il y a encore quelques années en voulant être la cryptomonnaie de référence pour les institutions financières traditionnelles. En janvier 2021, Coinbase avait déjà annoncé suspendre les échanges avec le XRP en raison de l’enquête ouverte par la Securities Exchange Commission (SEC) qui affirme que la cryptomonnaie de Ripple pouvait être assimilée à une valeur mobilière.
La licorne française a officiellement lancé sa carte de crédit qui permettra à ses clients de dépenser leurs cryptomonnaies grâce aux différentes solutions qu'elle propose.
L’une des plateformes d’échanges de cryptomonnaies parmi les plus populaires auprès d’institutionnels du système financier classique a annoncé ce mercredi qu’elle allait licencier 30% de ses effectifs, soit 1.100 personnes, en raison «des conditions actuelles du marché», a déclaré dans un communiqué son directeur général Jesse Powell. Fondée en 2011, Kraken est l’une des plus anciennes plateformes de l’écosystème crypto et a toujours prôné la collaboration avec les régulateurs de manière générale. Elle n’a également jamais été piratée jusqu’à aujourd’hui. Ses services sont notamment utilisés par Arquant Capital ou encore Coinhouse. Après la chute de FTX, Jesse Powell avait durement critiqué le fondateur de FTX Samuel Bankman-Fried en le qualifiant de «sociopathe» dont les agissements ont mis en danger les «progrès durement acquis» pour l’écosystème crypto.
Le 29 novembre, la plateforme d’échange de cryptomonnaies cotée en Bourse Coinbase a annoncé que son portefeuille cesserait de prendre en charge les cryptomonnaie Bitcoin Cash (BCH), l’ancien jeton de la blockchain Ethereum ‘Ethereum Classic’ (ETC) mais aussi celui de Ripple (XRP) en raison de sa «faible utilisation».
L’une des plateformes d’échanges de cryptomonnaies parmi les plus populaires auprès d’institutionnels du système financier classique a annoncé ce mercredi qu’elle allait licencier 30% de ses effectifs, soit 1.100 personnes, en raison «des conditions actuelles du marché», a déclaré dans un communiqué son directeur général Jesse Powell.
La structure a assuré que son exposition à la plateforme en faillite n’excédait pas plus de 2% de son bilan. Son caractère systémique pour l'industrie des cryptos inquiète.
Après FTX, un autre acteur du monde des cryptomonnaies demande la protection du chapitre 11 aux Etats-Unis. BlockFi doit de l'argent à plus de 100.000 créanciers.
Après FTX, un autre acteur du monde des cryptomonnaies demande la protection du chapitre 11 aux Etats-Unis. BlockFi doit de l'argent à plus de 100.000 créanciers.