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Nos articles d’actualité et d’analyse portant sur les questions budgétaires, en France, aux Etats-Unis, au niveau de l’Union européenne et dans les principales puissances économiques.
L’élection régionale test en Basse-Saxe dimanche s’est soldée par des résultats mitigés pour la coalition au pouvoir du chancelier Olaf Scholz, les sociaux-démocrates (SPD) remportant une nette victoire (33,2% des voix) tandis que les libéraux démocrates (FDP) ont essuyé un nouvel échec au parlement régional (moins des 5% nécessaires pour y siéger). Les conservateurs de la CDU obtiennent 28% et les Verts 14%. Selon certains experts, la débâcle du FDP risque de déstabiliser la coalition au pouvoir au niveau national. En pleine crise de l’énergie, elle pourrait aussi pâtir du score élevé (11,7%) réalisé par le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) dans un contexte de manifestations contre la vie chère.
La commission d’experts allemands chargée d’élaborer les plans pour atténuer l’effet de la flambée des prix du gaz s’est accordée lundi sur une série de propositions selon des sources et un document cités par Reuters. Elle serait favorable à ce que l’Etat accorde aux ménages et aux entreprises un paiement unique, correspondant à un mois de facture de gaz cette année, ainsi qu’un mécanisme de frein pour les tarifs à partir de mars ou avril prochain. Dans un deuxième temps, l’Etat pourrait subventionner 60% à 80% de la consommation de gaz prévue, les consommateurs devant payer le reste au prix du marché, ce qui encouragerait les économies d’énergie. S’il est adopté, ce système sera financé par un plan d’aide de 200 milliards d’euros que le gouvernement du chancelier Olaf Scholz a annoncé à la fin du mois dernier pour atténuer l’effet de la flambée des prix de l’énergie.
La commission d’experts allemands chargée d’élaborer les plans pour atténuer l’effet de la flambée des prix du gaz sur les consommateurs s’est accordée, tôt ce lundi, sur une série de propositions selon des sources et un document cités par Reuters.
L’élection régionale test en Basse-Saxe s’est soldée dimanche par des résultats mitigés pour la coalition au pouvoir du chancelier Olaf Scholz, les sociaux-démocrates (SPD) remportant une nette victoire (33,2% des voix) tandis que les libéraux démocrates (FDP) ont essuyé un nouvel échec au parlement régional (moins des 5% nécessaires pour y siéger). Les conservateurs de la CDU obtiennent 28% et les Verts 14%.
Le Sénat américain a adopté jeudi une mesure prolongeant jusqu’au 16 décembre le financement du gouvernement afin d'éviter une paralysie des services fédéraux («shutdown») à partir de vendredi minuit, faute de budget. Le texte de loi, qui contient également une aide de 12,3 milliards de dollars à l’Ukraine, a été approuvé par 72 voix pour et 25 voix contre. Il doit désormais être voté par la Chambre des représentants avant d'être transmis au président Joe Biden pour sa promulgation avant la date butoir.
La Banque d’Angleterre a annoncé qu’elle procéderait à compter de mercredi à des achats d’obligations du Trésor britannique à long terme sur les marchés, afin de faire baisser les rendements et d'éviter un resserrement des conditions de crédit pour les ménages et les entreprises. Elle procédera à «des achats temporaires et ciblés».
Le projet du président Joe Biden d’effacer en partie la dette étudiante américaine coûtera à l’Etat fédéral 400 milliards de dollars, a estimé le Bureau du Budget du Congrès (CBO) dans un rapport publié lundi. Ce calcul tient également compte de la suspension des paiements et des intérêts courus sur les prêts étudiants en cours de septembre à décembre, dans l’attente de la décision définitive, une suspension qui pourrait coûter 20 milliards supplémentaires. L’estimation du coût de la mesure alimente un débat technique entre experts et économistes, notamment en raison des incertitudes liées aux remboursements d’emprunts déjà réalisés par les anciens étudiants concernés. Le CBO a lui-même qualifié son estimation de «très incertaine».
Le projet du président Joe Biden d’effacer en partie la dette étudiante américaine coûtera à l’Etat fédéral 400 milliards de dollars, a estimé le Bureau du Budget du Congrès (CBO) dans un rapport publié lundi. Ce calcul tient également compte de la suspension des paiements et des intérêts courus sur les prêts étudiants en cours de septembre à décembre, dans l’attente de la décision définitive, une suspension qui pourrait coûter 20 milliards supplémentaires.
Nouveau record d’emprunts pour la France. Le pays devra émettre 270 milliards d’euros de dette à moyen et long terme nets des rachats en 2023, au lieu de 260 milliards en 2020, 2021 et 2022, a indiqué lundi l’Agence France Trésor en marge de la présentation du projet de loi de Finances par le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.
Le plan de relance, non financé, de Liz Truss, fait exploser les coûts d'emprunt et risque d’imposer une politique monétaire encore plus restrictive. Une leçon à méditer
La dette de la France franchira dans les prochaines semaines le seuil des 3.000 milliards d’euros et la charge de la dette s'élèvera l’an prochain 51,7 milliards d’euros, a déclaré dimanche le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal. Dans une interview au JDD, Gabriel Attal ajoute que le budget 2023, qui sera présenté par le gouvernement ce lundi, se traduira par une baisse de l’impôt sur le revenu de 6,2 milliards d’euros. «Sur le quinquennat, nous prévoyons de réduire le poids de la dépense publique de 57,6% à 53,8% du PIB», a précisé le ministre. Gabriel Attal a fait aussi savoir que les dispositifs du plan de relance seront réduits de 8 milliards d’euros et que le budget de la Sécurité sociale prévoit des économies dans les secteurs de la biologie médicale, de l’imagerie et de l’intérim médical.
Le gouvernement hongrois a soumis lundi au Parlement un premier projet de loi visant à lutter contre la corruption, alors que Budapest a promis de se mettre en conformité avec les règles de l’Union européenne (UE) pour éviter que cette dernière ne lui coupe les fonds. Ce projet de loi garantirait la coopération des autorités fiscales hongroises avec l’Office européen de lutte contre la fraude (OLAF), et modifierait les règles régissant les fondations publiques de gestion de patrimoine, les obligeant explicitement à lancer des appels d’offres publics pour leurs projets et durcissant les règles de conflit d’intérêts dans leur gestion.
Le gouvernement hongrois a soumis lundi au Parlement un premier projet de loi visant à lutter contre la corruption, alors que Budapest a promis de se mettre en conformité avec les règles de l’Union européenne (UE) pour éviter que cette dernière ne lui coupe les fonds.