Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
L’actualité des grandes banques centrales de la planète, celles de la zone euro (BCE), des Etats-Unis (Fed), du Royaume-Uni (BoE), du Japon (BoJ). Nos analyses et éclairages sur les politiques monétaires mises en œuvre par ces autorités au cœur de l’économie mondiale.
Ni la nette victoire de Donald Trump pour un nouveau bail de quatre ans à la Maison-Blanche, ni la perspective d'une politique économique perçue comme plus inflationniste n'ont conduit la banque centrale américaine à infléchir son cap. Son principal taux directeur est abaissé à 4,75%.
La banque centrale du Royaume-uni a diminué ses taux pour la seconde fois depuis 2020. Elle relève aussi ses prévisions de croissance pour le pays en 2025.
Les prévisionnistes de L’Agefi ont eux aussi retiré une baisse de taux pour la Fed d’ici à six mois. La perspective de déficits budgétaires plus importants les amènent à relever les taux longs, également aux Etats-Unis et au Royaume-Uni désormais.
Coincée entre le désordre politique sur la scène nationale et l’issue incertaine de l’élection américaine, la banque centrale japonaise n’avait aucune marge de manœuvre.
Le volume des transactions pourrait être multiplié par 25 à horizon 2031, selon Juniper Research, car les paiements internationaux ont tout à y gagner.
Le carry trade avait semblé marquer le pas après les rachats massifs de positions vendeuses sur le yen cet été. Mais il a depuis repris sa marche en avant.
Alors que la BoC était déjà en avance sur les autres banques centrales, sa quatrième réduction consécutive de taux porte sur 50 points de base (pb), au lieu des 25 pb escomptés, du fait des préoccupations naissantes sur le chômage.
L’institution considère que l’assouplissement monétaire pourrait alimenter les bulles de prix. Mais elle a surtout identifié d'autres risques que les marchés sous-estiment, comme les titrisations synthétiques des banques vers les fonds.
L'hypothèse que le « put » de la Fed soit passé des taux à court terme aux primes de terme pourrait bien être ce qui maintient la prime de terme américaine à un niveau bas et soutient les marchés actions, relève Michala Marcussen, chef économiste du groupe et directrice des études économiques et sectorielles à la Société Générale.
Le métal jaune a dépassé pour la première fois les 2.700 dollars l'once vendredi 18 octobre. Les marchés de futures et la plupart des stratégistes l’attendent au-dessus de 2.850 dollars dans les prochains mois. Même si cela entraîne un niveau de volatilité presqu’aussi élevé que pour les actions.
Le gouverneur de la Banque de France estime que la Banque centrale européenne doit continuer à baisser ses taux tout en restant pragmatique sur le rythme adopé
Les taux de swap d’inflation ont rebondi depuis mi-septembre aux Etats-Unis, mais aussi en Europe de façon plus étonnante, avec un ajustement des anticipations de baisse des taux de la Fed et des taux longs.
La question du lancement d’un euro numérique de détail soulève toujours des questions tout aussi majeures qu’il y a quatre ans, même s’il apparaît désormais incontournable. Les questions de son opportunité, de ses objectifs, et de ses solutions paraissent questionnables. Analyse par Hervé Sitruk, président-fondateur du France Payments Forum.
L’assouplissement monétaire de la Fed aide les banques centrales des émergents à soutenir leur croissance. Mais les dynamiques domestiques comptent tout autant. L'Agefi a mené une revue exhaustive des dernières politiques des banques centrales de ces pays.