Nos articles d'actualité et d'analyse sur toutes les grandes évolutions réglementaires aux niveaux français, européens, américains et internationaux susceptibles d'affecter les acteurs de la finance (banques, assureurs, fonds, gestionnaires d'actifs etc.)
L’actualité des grandes banques centrales de la planète, celles de la zone euro (BCE), des Etats-Unis (Fed), du Royaume-Uni (BoE), du Japon (BoJ). Nos analyses et éclairages sur les politiques monétaires mises en œuvre par ces autorités au cœur de l’économie mondiale.
Le PIB britannique a progressé en août après deux mois de stagnation, éloignant le risque de récession. Le marché attend une baisse de taux en novembre. Il va désormais se focaliser sur le budget qui sera présenté le 30 octobre.
Emission exceptionnelle tournée au salon annuel de la gestion de patrimoine à Lyon. Toute la rédaction s’est mobilisée pour être au plus près de la profession, avec, comme invités du mois, trois des quatre associés de Terrae Patrimoine : François-Xavier Sœur, Hortense Ducy et Lucile Barnichon
Les gouverneurs les plus accommodants fourbissent leurs arguments en faveur des baisses de taux. Au point que les plus restrictifs ont commencé à changer de ton.
Sur les marchés, plusieurs économistes estiment que la banque centrale européenne est en retard dans le cycle d’assouplissement nécessaire. Certains arguments peuvent leur donner raison.
Les cycles d’assouplissement de la banque centrale américaine sont favorables aux marchés émergents, car cela réduit la contrainte financière. Une partie des bonnes nouvelles est déjà dans les cours.
Pour sa troisième baisse de taux, la BNS a réduit jeudi son taux directeur de 25 points de base (pb), alors que certains acteurs de marché attendaient potentiellement -50 pb au regard du rythme seulement trimestriel de ses réunions monétaires.
L'institution nipponne aurait même pu revoir à la hausse ses prévisions sur l’inflation, et donc le rythme de hausse des taux, si la situation ne s’était pas dégradée aux Etats-Unis.
La Fed est parvenue à baisser fortement ses taux tout en maintenant, avec le discours de son président, un équilibre sur les marchés financiers. Même si des questions demeurent sur les perspectives du marché de l'emploi américain, et donc sur le rythme des prochaines baisses de taux.
La banque centrale britannique a laissé inchangés ses taux jeudi tout en restant prudente face à des données d’inflation, certes en ligne, mais toujours problématiques. Une baisse est attendue en novembre.
Même si, en l’absence de licenciements massifs, les taux de chômage n’ont pas encore redécollé, les taux liés aux emplois vacants ont en revanche chuté presqu’autant aux Etats-Unis qu’en Europe avec le ralentissement économique.