Ani et santé en entreprise : Generali rencontrera ses réseaux à Nantes le 20 novembre

La complémentaire santé va subir de profondes évolutions avec la loi du 14 juin 2013 signé dans le cadre de l’Accord National Interprofessionnel du 11 janvier de la même année. A compter du 1er janvier 2016, tous les employeurs devront avoir mis en place des couvertures collectives minimales pour l’ensemble de leurs salariés. Cette obligation devra s’articuler avec la nouvelle définition des contrats responsables qui de leur côté fixeront des plafonds maximum des remboursements permettant de bénéficier des aides fiscales et sociales.
Alors que la concurrence sur ce marché rentre dans une nouvelle ère avec la fin des désignations conventionnelles d’organismes assureurs et que le temps est compté, à peine un peu plus de douze mois pour équiper principalement les TPE/PME, Generali invite ses partenaires, intermédiaires, à plusieurs tables rondes destinées à expliquer les nouveaux mécanismes et les changements au regard des évolutions plus globales de l’économie de la santé et des systèmes de soins: bien-être au travail, prévention des risques, réseaux de soins et innovations technologiques.
La première rencontre s’est tenue à Strasbourg, le 14 octobre, la deuxième à Marseille le 23 octobre, la troisième à Lyon le 30 octobre et la quatrième à Paris le 4 novembre.
Le débat réunit :
-Stéphane Rapelli,économiste (voir le lien)
- Jean-François Tripodi, Directeur général de la plateforme de santé Carte Blanche Partenaires (voir le lien)
-Philippe Saby, membre de direction de Generali France.
A chaque étape un chef d’entreprises ou un représentant des entreprises sont présents:
- Jean-Michel Ricard, directeur général de Sielbleu à Strasbourg,
- Caroline Affre-Bouvier, manager du pôle social du groupe Excoà Marseille
- Didier Perréol, fondateur du groupe Ekibio à Lyon
- Frédéric Lalande, fondateur de la société Seenk à Paris
La prochaine rencontre aura lieu à Nantes le 20 novembre
Renseignements et inscriptions:cbeaufils@generali.fretbgilles@generali.fr
Plus d'articles du même thème
-
Brookfield envisagerait une nouvelle offre sur l’espagnol Grifols
Quelques mois après avoir essuyé une fin de non-recevoir des dirigeants du laboratoire pharmaceutique, la société de capital-investissement aurait repris les discussions sur la base d’une valorisation de 7 milliards d’euros. -
Le mauvais séquençage financier de 23andMe provoque sa faillite
Faute de repreneurs, la société, spécialiste des tests ADN, se place sous le chapitre 11 du régime américain des faillites. Sa fondatrice Anne Wojcicki démissionne afin de pouvoir bâtir sa propre offre de reprise. Une manière, pour elle, d'utiliser les subtilités du droit américain. -
Augustine Therapeutics étend à 78 millions d'euros son tour de série A avec Jeito Capital et Novo Holdings
Développant de nouveaux traitements contre les neuropathies, cette biotech belge s'apprête à lancer les essais cliniques d'un nouveau médicament pour la maladie de Charcot-Marie-Tooth.
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions