Ouverture de négociations exclusives entre la CSCA et l’ANACOFI
Dans le prolongement du congrès national des courtiers d’assurances du 9 juin dernier, au cours duquel la CSCA et l’ANACOFI avaient échangé sur un rapprochement de leurs structures, les deux organisations se donnent aujourd’hui deux mois pour parvenir à la signature d’un accord ferme et précis.
L’ANACOFI assurances, adhérerait à la CSCA, permettant ainsi à ses membres d’occuper toute leur place dans les instances du courtage et de bénéficier de l’expérience et des services de la CSCA. Réciproquement, la CSCA deviendrait adhérente de l’ANACOFI et bénéficierait alors d’un siège en son conseil confédéral. Cette solution permettrait aux membres de la CSCA qui exercent plusieurs activités d’accéder à une représentation dans ces domaines et à de nombreux services dédiés.
La réciprocité de cet accord et les délais raisonnables fixés pour clore la négociation sont de nature à garantir la meilleure situation possible, dans le respect des particularités de chaque famille de professionnels et d’entreprises.
Source: communiqué
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions