123Venture renforce sa gouvernance et annonce une série de recrutements
La société de gestion indépendante spécialisée dans le capital-investissement 123Venture qui gère aujourd’hui 1,15 milliard d’actifs annonce un renforcement de sa gouvernance et une série de recrutements pour accompagner sa croissance. La société est donc passée d’un conseil d’administration de 4 personnes à un directoire et un conseil de surveillance. Olivier Goy, fondateur d’123Venture, devient président du conseil de surveillance alors que Xavier Anthonioz prend la présidence d’un directoire de 6 membres.
Un plan de recrutement de 10 professionnels est par ailleurs en cours et s’est déjà concrétisé par l’arrivée début septembre de Pierre Dupuy-Chaignaud (ESLSCA, Bred) au poste de directeur d’investissement, de Hajar Idrissi (Paris XII, Reims Management School, Société Générale) et d’Antoine Kraus (EM Lyon, Equistone, ICG), aux postes de chargé d’affaires.
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions