Faire une donation temporaire d’usufruit avant le 31 décembre : une fondation en rappelle l’intérêt fiscal
Pour les particuliers en recherche d’un projet philanthropique, la Fondation pour la recherche médicale (FRM) veut rappeler les grands avantages en termes fiscaux d’une donation temporaire d’usufruit (DTU) d’un bien tel qu’un immeuble de rapport, un portefeuille titre ou un contrat de capitalisation.
Habituellement utilisés dans un cadre familial, cette donation se développe également au profit des fondations reconnue d’utilité publique comme la FRM. Pour mémoire, l’avantage fiscal est double: un ISF qui se trouve considérablement diminué puisque le bien sort, pour sa valeur en pleine propriété, de l’assiette taxable, et un impôt sur le revenu sensiblement diminué. La DTU ayant pour conséquence de diminuer la base taxable à l’ISF, elle doit être mise en place avant le 31 décembre de l’année, la Fondation accompagnant le porteur du projet. Cette DTU nécessitant un acte notarié, «il convient de préparer celle-ci quelques semaines avant la fin de l’année», rappelle ainsi Stéphanie Clément-Grandcourt, responsable Philanthropie à la FRM.
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions