En marche vers le droit à l’erreur
Ce mardi 30 janvier, l’Assemblée nationale se prononce sur le projet de loi pour un État au service d’une société de confiance. Un projet qui consacre le droit à l’erreur, entend favoriser l’utilisation du rescrit fiscal et réduit les intérêts de retard de 50 % pour les contribuables qui rectifient de manière spontanée leur déclaration. En cas de contrôle de l’Administration fiscale, la réduction prévue est de 30 % pour les contribuables de bonne foi.
Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, annonce d’ores et déjà « une révolution dans les relations entre administrations et administrés ».
Un évènement L’AGEFI
TECH & FINANCE
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Les plus lus
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions