Le marché du résidentiel ancien a reculé en 2013
Le marché de l’immobilier a subi des influences contradictoires en 2013: d’une part «une conjoncture économique dégradée, une fiscalité galopante, des prix élevés, un projet de réforme de la location très contesté» et d’autre part «des taux d’intérêt historiquement bas», souligne la FNAIM dans une étude sur les résultats du marché de l’immobilier résidentiel ancien en France l’an passé.
La FNAIM enregistre un repli de 5,1% du volume total de transactions entre 2012 et 2013, comparable aux observations des autres acteurs du secteur. D’après l’étude européenne d’ERA, intégrée au dossier, la France se situe au 3e rang des marchés immobiliers par l’importance du repli, après le Portugal et les Pays-Bas.
Un évènement L’AGEFI
TECH & FINANCE
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Les plus lus
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions