L’ACPR lance à son tour son pôle fintech
Deux jours aprèsl’annonce par l’AMF du lancement de sa division fintech, l’ACPR en a fait de même, pour une mise en service le même jour (le mercredi 1er juin).
Rattaché au secrétariat général, le pôle fintech de l’ACPR a notamment pour but d'être «le point d’entrée des fintech à l’ACPR pour un agrément. Il fera bénéficier les Fintech d’informations et d’actions de communication dédiées», précise l’Autorité. Il visera également à «mieux connaître les risques induits» par ces sociétés technologiques, explique dans une vidéo la responsable de la division, Nathalie Beaudemoulin,jusqu’ici directrice adjointe des Agréments, des Autorisations et de la Réglementation de l’ACPR.
Avec ces deux entités créées, l’AMF et l’ACPR vont désormais préparer l’organisation d’un «Forum fintech», pour ensuite réaliser les «premières réunions avec les porteurs de projets», détaille Nathalie Beaudemoulin.
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions