La cession d’Advenis à Ageas France des participations dans Sicavonline est effective
Le groupe Advenis a annoncé la cession effective à Ageas France de ses participations de 35% dans Sicavonline et Sicavonline Partenaires annoncée en août dernier, sous condition d’obtention de l’accord de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR). La cession valorisait 35% des titres de Sicavonline et de Sicavonline Partenaires à un montant de 2,9 millions d’euros. Une collaboration étroite est néanmoins maintenue entre les deux groupes précise un communiqué. Advenis Gestion Privée conserve ainsi son statut d’agent lié pour la commercialisation des produits financiers distribués par Sicavonline . Par ailleurs, Sicavonline assure toujours la distribution de l’offre d’Advenis Investment Managers auprès des partenaires bancaires et des CGPI.
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions