Avenir Finance lance un nouveau long/short actions
Avenir Finance Investment Managers (AFIM) annonce dans un communiqué le lancement de son nouveau fonds AFIM Diadys LS Market Neutral, mettant en œuvre une gestion Long/Short actions. Géré par Frédéric Gourdeau et Matthieu Détroyat, le fonds initie ses investissements uniquement sous forme de « paires » associant une position acheteuse (Long) et une position vendeuse (Short) d’actions du même secteur d’activité. Le fonds utilise quatre horizons d’investissement, du court au long terme, sur les marchés mondiaux, hormis émergents.
Le processus d’investissement est réalisé en deux étapes. La première étape est la détection d’idées qui se fait généralement de manière quantitative. Après cette phase de détection, la seconde consiste en une analyse fondamentale des idées détectées qui peuvent ainsi éventuellement aboutir à des choix d’investissement.
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions