Amundi confirme son intérêt pour Pioneer... mais pas à tout prix

Suite à un certain nombre de rumeurs dans le journal italien Il Messaggero concernant la soumission par Amundi d’une offre non engageante d’achat de Pioneer, Amundi vient de publier un communiqué dans lequel il souhaite apporter les clarifications sur l’intérêt qu’il porte à la société de gestion, filiale du groupe bancaire italien Unicredit.
Amundi confirme ainsi que Pioneer s’inscrit bien dans la stratégie de développement présentée à l’occasion de son introduction en Bourse. En revanche, la filiale de gestion d’actifs du Crédit Agricole dément les niveaux de valorisation de Pioneer qui lui sont attribués, à savoir 4 milliards d’euros. Dans ce cadre, l'établissement français rappelle que «sa politique d’acquisitions s’inscrit dans des critères financiers stricts, avec notamment un retour sur investissement supérieur à 10% sur un horizon de trois ans».
Plus d'articles du même thème
-
PARTENARIAT
Apprendre à désapprendre : les limites du savoir
L’illusion de la connaissance et comment surmonter les limites de l’apprentissage -
PARTENARIAT
Investissement : Quand la simplicité devient un piège
Pourquoi la simplicité n’est pas toujours la meilleure solution
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions