Patrimoine

La clause bénéficiaire doit-elle être entièrement écrite de la main du stipulant comme pour un testament ?

C’est la question n°63.362 posée par un parlementaire le 2 septembre dernier.

«Les risques que présente l’absence d’exigence de forme, autre que la signature du stipulant, pour désigner le ou les bénéficiaires des capitaux issus des contrats d’assurance vie dénoués. En effet, une simple signature suffit pour attribuer des sommes conséquentes, sans que les compagnies d’assurance ne disposent de moyens de vérification de la sincérité de la désignation notamment lorsqu’elle est le fait de personnes âgées. L’attribution bénéficiaire peut, dans certains cas, concerner plusieurs millions d’euros. Il semblerait indispensable d’exiger que la clause bénéficiaire soit entièrement écrite de la main du stipulant comme pour un testament. Une rédaction « olographe » devrait s’imposer».

Un évènement L’AGEFI

Plus d'articles du même thème

ETF à la Une

Les plus lus

Contenu de nos partenaires

PARTENARIAT
Par WisdomTree

Investir dans la renaissance de la défense européenne

PARTENARIAT
Par ALTAROC

Comprendre les mécanismes de performance du Private Equity

PARTENARIAT
Par Sienna Investment Managers

« Le FCPR Sienna Private Assets Allocation a été co-construit avec les assureurs »

A lire sur ...