
Vidéo : «Les actes doivent être à la hauteur des paroles sinon c’est du greenwashing»

Cette semaine, L’Agefi consacre son premier «Grand angle» à la loi sur le devoir de vigilance. Adoptée en 2017, elle s’applique aux grandes entreprises françaises employant plus de 5.000 salariés en France et 10.000 dans le monde. Elles sont tenues d’adopter un plan de vigilance pour prévenir les atteintes graves à l’environnement et aux droits humains.
Cette loi permet aussi aux ONG de mettre en demeure ces grandes entreprises et de les poursuivre en justice si elles estiment qu’elles ne respectent pas leur devoir de vigilance.
Dans le cadre de ce dossier, L’Agefi a interviewé Justine Ripoll, responsable de campagnes pour Notre Affaire à tous. Cette organisation non gouvernementale (ONG) s’est déjà fait connaître pour avoir fait condamner l’Etat français pour l’insuffisance de ses politiques climatiques. Elle est aujourd’hui impliquée dans deux contentieux engagés contre BNP Paribas.
Un entretien à découvrir en intégralité dans notre vidéo.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
- La Banque Postale débarque le patron de sa banque privée
- A la Société Générale, Slawomir Krupa se prépare à la taylorisation des banques
- La Société Générale prend le risque d'une grève en France fin mars
- Une nouvelle restructuration à la Société Générale ne plairait pas aux investisseurs
- Le CCF a perdu une centaine de millions d’euros l’an dernier
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions