
CNP Assurances achète les filiales d’assurances de Banco Santander
CNP Assurances a annoncé jeudi la signature d’un accord de distribution exclusif de long terme avec Santander Consumer Finance ainsi que l’acquisition de 51% de ses filiales d’assurance vie et non-vie pour un montant de 290 millions d’euros. Le partenariat concerne l’ensemble des produits d’assurance de protection et couvre un périmètre de 10 pays européens dans lesquels Santander Consumer Finance occupe des positions majeures tels que l’Allemagne, la Pologne, l’Italie, l’Espagne ou l’Autriche. En 2013, les filiales d’assurance de Santander Consumer Finance ont généré près de 600 millions d’euros de chiffres d’affaires et l’activité concernée «présente un fort potentiel tant en termes de marges que de croissance», a précisé CNP Assurances. La transaction sera financée par des ressources existantes et devrait être réalisée d’ici fin 2014, a ajouté la compagnie.
Plus d'articles du même thème
Sujets d'actualité
ETF à la Une
- La Banque Postale débarque le patron de sa banque privée
- A la Société Générale, Slawomir Krupa se prépare à la taylorisation des banques
- La Société Générale prend le risque d'une grève en France fin mars
- Une nouvelle restructuration à la Société Générale ne plairait pas aux investisseurs
- Le CCF a perdu une centaine de millions d’euros l’an dernier
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions