Toute l’actualité du secteur bancaire – banque de détail, banque d’investissement, réglementation – et de ses principaux acteurs, qu’ils soient capitalistes (BNP Paribas, la Société Générale), étrangers (JPMorgan, Bank of America, Goldman Sachs, Credit Suisse, Deutsche Bank, HSCB), mutualistes (le Crédit Agricole, Crédit Mutuel, BPCE) ou même publics (la Banque Postale). Nos analyses des grandes tendances du domaine.
Face aux défis de financement et aux nouvelles exigences environnementales, l'investissement immobilier est en pleine mutation. Cette transformation appelle des solutions innovantes, capables d'allier performance financière et adaptation aux nouveaux enjeux sociétaux et environnementaux.
La France vient d’accoucher d’une nouvelle loi de finances pour 2025, et déjà les premiers signes d’une crise post-partum se font sentir. Au cœur du débat, la possibilité pour le législateur de changer les règles du jeu en cours de partie, au nom de « l’intérêt général ».
A l'aube d'un grand transfert de richesse, le changement démographique et l'évolution des mœurs rebattent les cartes de la transmission de patrimoine des grandes familles françaises.
Aujourd’hui, face au risque de fracture de la relation transatlantique, l’Europe débat les options de financement possibles pour obtenir son autonomie. Il semble probable que la clause de sauvegarde générale soit déclenchée, mais cela ne fournirait qu'une solution temporaire au problème de financement.
Le cantonnement à un an de la taxation sur les hauts revenus semble ouvrir la voie à un changement de paradigme au niveau de la politique fiscale de l'Etat sur les plus grandes fortunes.
Les contours du futur marché de l’épargne et des investissements européens se dessinent à quelques mois d’une prise de parole de la Commission européenne.
Si l'ensemble des actifs sous gestion de ces activités progressent au quatrième trimestre 2024, leur PNB est en baisse chez la Société Générale et en hausse pour BNP et le Crédit Agricole, Pour ce dernier, la progression provient, en grande partie, de l'intégration d'Indosuez.
Au-delà des incertitudes, l’appétence et l’intérêt pour les SCPI demeurent et elles continuent d’être un puissant outil de diversification patrimoniale. A condition de faire le bon choix.
L’impact de la géopolitique sur certaines classes d’actifs et sur la construction de portefeuille conduit les gérants à multiplier les sources d’information. En interne comme en externe.
Selon une étude de LCH Investments, sur les 3.720 milliards de dollars gagnés depuis la fin des années 1960 par les fonds spéculatifs, ces derniers en ont capté près de 1.800 milliards en frais.
Redoutant un durcissement, goûtant peu le climat d’incertitudes politiques et économiques, les grandes fortunes s’interrogent sur l’opportunité d’un exode fiscal. Certains pays européens adaptent leur politique pour les attirer.
Dans sa première étude sur les placements non cotés destinés aux particuliers, l'Autorité des marchés financiers indique que sur les fonds ouverts au 31 décembre 2023, beaucoup présentent une rentabilité négative. Il s'agit avant tout des fonds d'investissement de proximité et des fonds communs de placement dans l'innovation. Les frais totaux médians oscillent entre 2,4% et 3,5%, ce qui n'aide pas à doper la performance.
L’exceptionnalisme américain continue de guider les marchés, et la politique économique de Donald Trump aimante toute l’attention. Certains investisseurs gardent espoir sur l’Europe, voire sur la Chine.
Dans la présentation de leurs perspectives 2025, les banques privées françaises et internationales sont unanimes sur la présence d'actions américaines dans leur allocation. De plus, la présence des actifs alternatifs grimpe d'année en année.
Une nouvelle étude menée par Dan Murphy, professeur à la Darden School of Business (Université de Virginie) met en lumière l’impact de la taille des logements et de la densité des quartiers sur les habitudes de consommation et d’épargne des ménages.
Le gérant de Global Private Credit Fund, un fonds de fonds de dette privée, partage en exclusivité avec l'Agefi la stratégie de ce nouveau véhicule créé l'an dernier ainsi que sa vision du monde de la dette privée.
Tandis que l'Europe évolue dans un environnement économique instable, la place financière dubaïote s'impose comme incontournable pour les plus grandes richesses mondiales. Les family officers et banquiers privés y affluent.
Dans la course à la compétitivité, les family offices ont conscience du rôle important de la technologie. Mais les processus restent longs et coûteux pour les structures indépendantes, explique la dernière étude de marché de Deloitte.
Les nombreuses créations, dans un contexte de chute de la collecte, soulèvent des questions sur les barrières à l’entrée et une éventuelle consolidation du secteur.
L’institution devrait choisir la continuité jeudi, et réduire ses taux directeurs de 25 points de base (pb) comme en septembre et en octobre. Une accélération de l’assouplissement n’est pas exclue pour 2025, mais dépendra aussi des décisions de l’administration Trump.
Alors qu'elle progressait de 10% par an entre 2015 et 2020, la croissance de la fortune des milliardaires dans le monde n'atteindrait plus que 1% en 2024 selon la dernière étude d'UBS.
Le gestionnaire de fortune britannique St. James’s Place devrait revenir dans l’indice FTSE 100 à la faveur de la révision des composants de l’indice de décembre 2024 par son fournisseur FTSE Russell. St. James’s Place avait été écarté de l’indice en juin 2024 après y être entré en mars 2014.
Pour répondre à cette clientèle exigeante, les établissements multiplient les initiatives. Dans les services avec l’ingénierie patrimoniale et l’allocation mais également dans le développement commercial via la présence à des évènements.