La nouvelle politique monétaire de la Banque du Japon commence à être transmise sur les marchés interbancaires et obligataires. Mais le yen reste volatil.
L'institution helvète est la première grande banque centrale à initier son cycle d’assouplissement monétaire grâce à une inflation largement dans la cible.
L’offre permet de limiter les coûts de latence induits par les «dark pools» londoniens et de proposer un service continu localisé au même endroit, en l’occurrence dans le centre technique de Bergame.
Initialement annoncé à 4,9% pour 2023, le déficit public français devrait être plus proche de 5,6%. Un dérapage que les marchés n'ont pas sanctionné jeudi.
Les services se redressent bien en zone euro et ralentissent moins en Allemagne, mais pas en France. A l'inverse, l’indice PMI manufacturier recule partout, bien plus qu’attendu.
De l’encadrement des rétrocessions, aux garanties que les coûts des produits financiers ne sont pas excessifs, en passant par le travail des conseillers : les propositions initiales de la Commission sur la «Retail Investment Strategy» ont été sensiblement affaiblies par les eurodéputés.
L’inflation a chuté à 3,4% en février outre-Manche, avec un recul attendu sous 2% dès avril. La banque centrale devrait encore laisser ses taux inchangés jeudi mais tout reste ouvert pour une baisse en août, voire en juin.
Pour la BCE et la banque centrale chinoise, mener une politique monétaire plus accommodante que celle de la Fed, ce qui entraînerait une dépréciation de l’euro et du renminbi, serait rationnel. Mais, gare ! La «guerre des devises» n’est pas une solution optimale, avertit Gilles Moëc, chef économiste d'Axa.
Les entreprises souhaitant rejoindre la place de Paris ne seront plus obligées de réserver une partie de leurs actions aux investisseurs individuels. L’Autorité invoque une question d’attractivité.
Leur prédominance dans les CLO américains a cessé à partir de 2019, ce qui aurait sinon représenté un danger avec le relèvement des taux par la Banque du Japon.
L'institution fait passer son taux directeur en positif, mais reste accommodante. Elle devra, à l’avenir, se poser la question de la réduction de son bilan, après 14 années d’achats d’actifs.
Les acteurs non bancaires, dont les traders haute fréquence, estiment que la «Dealer Rule», qui les oblige à s’enregistrer en tant que négociants auprès des autorités de marché américaines est arbitraire.
Le PDG de l'opérateur boursier, Stéphane Boujnah, s'est exprimé à l'occasion de la conférence annuelle du groupe. Il estime que la construction de l'Union des marchés de capitaux passe par le renforcement du mandat de l'Esma.
L’institution a maintenu son taux mais estime désormais les risques équilibrés sur l’inflation. Le dollar australien s’affaiblit, également en raison de la chute des prix du minerai de fer.
La banque centrale du pays a relevé ses taux pour la première fois depuis 2007 tout en les laissant proches de zéro alors que l'inflation est repassée au-dessus de 2%.
Profitant d’un marché favorable, le groupe de distribution relance une émission obligataire six mois après l’avoir annulée, avec de meilleures conditions pour les investisseurs.
Si la probabilité d’un assouplissement dès le 12 juin a diminué avec l’inflation CPI du 12 mars, le principe n’est pas remis en doute. Les marchés scruteront particulièrement les «dots» des gouverneurs sur le nombre de baisses de taux en 2024.
Malgré l’absence de budget cette année, Moody’s a amélioré la perspective de l’Espagne tandis que S&P évoque sa résistance économique face aux fragilités politiques.
A l’instar des fonds quantitatifs américains en 2007, leurs homologues chinois ont subi une très forte secousse début février en raison de leur trop grande exposition aux petites capitalisations. Ce mouvement, exacerbé par l’interventionnisme de Pékin, a entraîné des pertes de plusieurs milliards de dollars.
L'AMF s'est retrouvée en 2023 dans "une situation financière critique". Le lancement de grands projets, informatique et immobilier, mal pilotés, a vidé les caisses du gendarme des marchés.
La probabilité de marché d'une hausse de taux au 19 mars, un jour avant l'annonce, est de 50%. Une évolution sur d’autres instruments de politique monétaire est aussi attendue.
Des réparations sur le principal terminal de gaz naturel liquéfié (GNL) américaine à Freeport (Texas) ont entraîné une réduction des flux et accentué la nervosité des marchés, malgré des stocks records en Europe.
A l'occasion de la Conférence Biodiversité organisée par L'Agefi ce 14 mars, l'ancienne députée européenne Sylvie Goulard est revenue sur la création d'un nouveau marché des crédits biodiversité.