Berlin compte sur la Bourse pour amortir la hausse des cotisations sociales des salariés et espère générer 10 milliards d'euros par an qui participeront au financement des pensions.
Les pays d’Europe du Sud ont continué à participer à l’amélioration générale de l’activité, selon les indices PMI définitifs, supérieurs aux premières estimations.
Le pays se fixe un objectif à la fois ambitieux, compte tenu du contexte, et faible par rapport à ses performances des dernières décennies. Le budget de l'armée sera par ailleurs augmenté de plus de 7%.
Au cours d'une partie du mois de février, les primes secondaires ont été négatives, comme pendant le programme d'achat d'obligations de la BCE, compte tenu de la forte demande. Mais le volume d’émissions a fini par peser sur le marché.
Les marges budgétaires sont limitées et tout cadeau fiscal avant les élections devra être financé par des baisses de dépenses pour éviter une nouvelle crise budgétaire outre-Manche.
Le large dépassement enregistré pour 2023 est essentiellement dû au crédit d'impôt de rénovation énergétique. Les effets comptables du «superbonus» joueront encore en 2024.
La Bourse de Tokyo, qui a récemment battu un record vieux de plus de 34 ans, poursuit sa quête des sommets, stimulée par les réformes et les achats d’investisseurs étrangers.
L’organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés ont annoncé un prolongement du précédent accord de baisse de production d’un trimestre. Le cours de l’or noir grimpe légèrement.
Les gouverneurs les plus influents de l’institution ne manqueront pas de s’appuyer jeudi sur les chiffres décevants de février pour repousser toute idée de baisse des taux. Mais le consensus se fissure au sein du Conseil.
Le Panel Actions anticipe un recul de 2% à 3,5% des marchés occidentaux à horizon six mois. La place japonaise pourrait perdre 5% après sa récente flambée.
Le Panel Allocation demeure parfaitement inchangé par rapport à début février. La confiance dans les actifs risqués se maintient. La tendance est à la réduction de la poche de cash.
En février, les prévisionnistes de L’Agefi et les marchés ont décalé d’un mois les premières baisses de taux directeur, de mai à juin. A cause des données économiques pour les Etats-Unis, et des discours restrictifs pour la zone euro.
La Banque centrale européenne tiendra sa réunion de politique monétaire jeudi. Quelques résultats d'entreprises sont encore attendus, dont ceux de Thales, Vivendi, Dassault Aviation ou encore JCDecaux.
En février, plusieurs places boursières ont atteint de nouveaux records. Un fossé semble se creuser entre des actions portées par l’IA et le soft landing et des obligations pénalisées par le risque d’une inflation persistante.
Les prix de vente locaux sont bien inférieurs à ceux des marchés internationaux, au plus haut depuis 60 ans. Les deux leaders mondiaux, la Côte d'Ivoire et le Ghana, affichent des trajectoires économiques divergentes.
L’équipementier automobile (ex-Faurecia) a émis 1 milliard d’euros d’obligations en deux tranches pour racheter d’anciennes souches, dont une obligation ESG.
Autrefois encouragés par les pouvoirs publics, les meublés touristiques courte durée sont désormais dans le viseur des autorités, qui multiplient les pistes pour un meilleur encadrement de leur mise en location.
La progression des places boursières européennes, supérieure à celle de Wall Street cette année, est également concentrée sur quelques valeurs de croissance.
Les dirigeants républicains et démocrates ont conclu un accord provisoire pour éviter une fermeture de certaines administrations le 2 mars. Mais pas encore sur six autres administrations, financées seulement jusqu’au 22 mars.
A 2,9%, la hausse des prix est toutefois légèrement supérieure aux attentes. En données harmonisées pour une comparaison européenne, elle ressort à 3,1%.
Après la pandémie, ces montants accumulés à cause d’un double effet confinement et chèques d’Etat ont fondu. Mais l’«effet richesse» lié à la hausse des marchés a pu compenser en partie ce mouvement aux Etats-Unis.
Les bons chiffres de l’inflation ont convaincu le comité de politique monétaire de tempérer sa communication. Le dollar néozélandais a perdu près de 1% face au dollar américain.
Mercredi à Bruxelles, Paris s’est retourné contre ce projet visant à forcer les grandes entreprises à combattre les atteintes aux droits humains et à l’environnement sur l’ensemble de leurs chaînes d’activité. Son existence est désormais sévèrement menacée.