Le gérant, créé par des ex-LBO France et ex-ICG, prévoit à terme une intégration complète de la société spécialisée dans le financement d’actifs réels.
Connue à l’international pour d’autres atouts, la France s’impose désormais comme un acteur clé du secteur et affiche une longueur d’avance dans l’ESG.
Floués dans le cadre du sauvetage de la banque suisse, les investisseurs obligataires veulent obtenir l’annulation de la décision de l’autorité financière… ou un dédommagement.
A l’issue de quatre mois de discussions, le Comité consultatif pour le secteur financier (CCSF) énumère différentes pistes pour une «meilleure transparence en matière de distribution» des produits financiers.
Contrairement à BNP Paribas, la Société Générale, Natixis et HSBC Continental Europe, le Crédit Agricole n'est pas visé par l'enquête du parquet national financier dans ces affaires de fraude fiscale.
Les porteurs de dette AT1 de Credit Suisse ont payé le prix fort, les actionnaires aussi. Les conditions du sauvetage de la banque par UBS ont remis sous les feux des projecteurs la question de la responsabilité. Celle des dirigeants de banques se pose aussi, notamment en Europe.
Partenaires de longue date, ces deux géants du paiement en France comptent créer une entreprise commune pour reprendre la main sur les services aux commerçants, marché sur lequel des fintechs se sont largement imposées depuis dix ans.
Le véhicule, baptisé «BEA1», aura un ticket d’entrée de seulement 1.000 euros. L’entrée en masse des particuliers dans le capital-investissement soulève des interrogations quant à la capacité des acteurs à fournir un accompagnement adéquat à cette clientèle plus novice.
Les deux sociétés veulent créer une coentreprise de services aux commerçants en France. Elle devrait être opérationnelle en 2025 et serait contrôlée par Worldline.
Covéa profite de bons résultats en assurance et réassurance en 2022 malgré un contexte difficile. Les deux groupes commencent à ajuster leurs politiques de placements.
La banque a publié un résultat net en baisse de 20% ce premier trimestre. La banque d’investissement et Marcus ont pesé, mais la gestion de fortune décolle.
Le premier actionnaire de la banque britannique, lié à Pékin, a détaillé, mardi, ses arguments en faveur d’une cotation des activités asiatiques du groupe.