Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
François a travaillé comme correspondant de l’agence Reuters à Zürich, puis à Paris pour différents journaux et sites économiques. A L’Agefi, il a retrouvé ses réflexes d’agencier, couvrant l’actualité «en temps réel» des secteurs automobile, énergie, distribution et médias. Il traite de la vie de ces entreprises cotées et de leurs principaux défis, de l’accélération de la voiture électrique à la concentration des médias, de la crise du Covid à la sortie de Russie.
La compagnie aérienne a battu les attentes des analystes grâce à une solide fin d'année et les dirigeants anticipent une nette amélioration de son résultat d'exploitation en 2025.
A rebours de ses concurrents, le groupe au losange s’offre le luxe d’atteindre ses objectifs, avec des performances commerciale et opérationnelle meilleures qu’attendu. Une trajectoire mise sur le compte de la méthode Luca de Meo.
Les comptes 2024, marqués par un bénéfice net en repli de 11%, à 1,08 milliard d'euros, sont inférieurs aux attentes. Tout en se renforçant au Brésil, le groupe de distribution dirigé par Alexandre Bompart n'exclut pas des cessions d'actifs. L'action chute.
Son «pricing power» et sa capacité de séduction en Europe et aux Etats-Unis propulsent le groupe à des niveaux records en Bourse. Trois fois plus petit que LVMH en termes de ventes, Hermès s’échange 60 fois le bénéfice net escompté en 2025.
Euronext a dépassé pour la première fois un milliard d’euros de résultat opérationnel pour la première fois de son histoire. Le groupe compte continuer à mettre en œuvre sa stratégie de croissance.
La trajectoire du flux de trésorerie du fabricant de pneumatiques illustre une discipline financière sans accroc. Une telle ligne impose une adaptation sans relâche de l'empreinte industrielle, coûteuse en termes d'emplois.
Le pneumaticien a dégagé un bénéfice net de 1,89 milliard d'euros l’an dernier, soit un repli de 4,5% d’une année sur l’autre. Une performance inférieure aux attentes.
Malgré des résultats moins mauvais que prévu, le groupe de luxe a encore des difficultés à convaincre sur un prochain rebond. Sa marque phare, Gucci, ne montre pas encore de signes de reprise.
La croissance du groupe de cosmétiques a continué à ralentir au quatrième trimestre. L'Oréal annonce par ailleurs le départ de Françoise Bettencourt Meyers de son conseil et une prise de participation dans Jacquemus.