Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
François a travaillé comme correspondant de l’agence Reuters à Zürich, puis à Paris pour différents journaux et sites économiques. A L’Agefi, il a retrouvé ses réflexes d’agencier, couvrant l’actualité «en temps réel» des secteurs automobile, énergie, distribution et médias. Il traite de la vie de ces entreprises cotées et de leurs principaux défis, de l’accélération de la voiture électrique à la concentration des médias, de la crise du Covid à la sortie de Russie.
Le rapprochement envisagé par les deux groupes japonais ouvrirait au constructeur français plusieurs options qui semblent toutes favorables à son cours de Bourse.
Les capitalisations cumulées de Canal+, Havas, Louis Hachette Group et de ce qu'il reste de Vivendi se montent à 8,6 milliards d'euros, soit peu ou prou la capitalisation du conglomérat avant la scission.
Entrée au tour de table du spécialiste de la blanchisserie en octobre 2023 via la reprise de la participation de Crédit Agricole Assurances, la holding renforce progressivement ses positions et pointe désormais à plus de 15% du capital.
Les actionnaires sont appelés lundi à se prononcer sur la scission du conglomérat de médias en quatre entités. En cas d’approbation, le profil du futur Vivendi sera totalement bouleversé.
Après deux années exceptionnelles sur les marchés du gaz qui ont tiré ses revenus, l’ex-GDF Suez pourrait voir sa croissance ralentir en 2025 et 2026. Il mise sur les renouvelables et les besoins de décarbonation de l’économie pour rebondir.
Les deux groupes français laissent entrevoir un point d’inflexion en termes opérationnel et commercial. En Bourse, leurs titres ont davantage souffert que leurs concurrents.
Le spécialiste des semi-conducteurs reprend des couleurs en Bourse après des résultats sans surprise mais son action abandonne encore plus de 50% depuis le début de l'année.
Le groupe de matériel ferroviaire a dégagé un résultat net de 53 millions d'euros au premier semestre de son exercice 2024-2025. Les commandes sont au rendez-vous, ce qui améliore son profil de trésorerie.