
Vanguard refuse de proposer des ETF bitcoin sur sa plateforme

Les nouveaux ETF bitcoin ont connu un démarrage en fanfare, mais Vanguard refuse de rejoindre la fête, écrit le Wall Street Journal. Le géant américain de la gestion d’actifs a annoncé jeudi qu’il ne proposerait pas d’ETF bitcoin spot sur sa plateforme de courtage, émettant des doutes sur l’adéquation de la devise crypto pour de nombreux investisseurs individuels.
«Nous estimons que ces produits ne correspondent pas à notre offre axée sur les classes d’actifs telles que les actions, les obligations et les liquidités, que Vanguard considère comme les éléments constitutifs d’un portefeuille d’investissement à long terme bien équilibré», a déclaré le gestionnaire d’actifs dans un communiqué.
A lire aussi: L’ETF bitcoin dope les espoirs du marché des cryptos
Plus d'articles du même thème
-
Un rebond rapide, mais mesuré, est attendu pour les marchés actions
Les gestionnaires interrogés anticipent une reprise de 8% à 9% des Bourses dans les six prochains mois, et de 12% à 14% sur un an. -
PARTENARIAT
L’essor des ETF actifs
Les ETF actifs attirent des investisseurs en quête des avantages de la gestion active et de l'atout de l’enveloppe ETF. -
Le marché européen des ETF reprend sa respiration
La collecte hebdomadaire a été divisée par près de deux, après une semaine record.
A la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions