En difficulté, le groupe de services numériques reporte au 3 mai la date de dépôt des offres de candidatures à la refonte de son bilan. Il indique avoir besoin de plus de fonds frais que prévu.
Quelques semaines après avoir bouclé sa restructuration financière, le distributeur désormais contrôlé par Daniel Kretinsky annonce de massives suppressions d’effectifs.
Les émissions pourraient cependant se tasser un peu, maintenant que les banques sont entrées dans une phase de refinancement, et non plus de construction, du ratio minimal de fonds propres MREL.
A l’approche de l'assemblée générale du groupe de télécoms italien, deux fonds turbulents proposent des listes alternatives à celle du conseil d'administration sortant. Bluebell Capital avance le nom de Laurence Lafont, une cadre dirigeante de Google, pour remplacer Pietro Labriola.
La diminution de sa capacité de production, qui sera comprise entre 17% et 22%, entraînera des suppressions d’emplois significatives sur son site historique de Duisbourg.
La directrice générale par intérim du spécialiste britannique des jeux d’argent prendra d’ici à fin septembre la présidence de son conseil d’administration.
Alain Crozier, senior advisor chez Seven2, est coopté administrateur indépendant jusqu'à la prochaine assemblée générale du groupe. Concernant son plan de refinancement, Atos a donné rendez-vous à ses créanciers en début de semaine prochaine.
La concomitance d’une dette élevée et des défis liés au dérèglement climatique complique encore plus la tâche des pays les plus pauvres, en situation de défaut ou près de l'être. Mais des solutions sont explorées.
Ils sont des centaines à faire leurs calculs depuis qu'Altice France a décidé de mettre ses créanciers à contribution. Revue des masses en jeu et des options possibles.
Le groupe nippon, qui va céder ses technologies automobiles à Apollo pour 2,05 milliards de dollars, a conclu un accord de fourniture avec Mazda dans les batteries.
Week-end pascal chargé pour les créanciers d’Altice. Un groupe représentant deux tiers des 24 milliards d’euros de dette du deuxième opérateur télécoms français peaufine actuellement le choix de son conseil financier. Avec une mission claire : contrecarrer les manœuvres de Patrick Drahi.
Le distributeur a réalisé avec succès sa restructuration. Daniel Kretinsky prend le contrôle de l’entreprise désormais présidée par Laurent Pietraszewski et dirigée par Philippe Palazzi. L’action plonge à 0,07 euro.
Le groupe tricolore de services numériques essuie 3,44 milliards d’euros de pertes en 2023, et ne fournit plus d’objectifs chiffrés pour cette année. L'ouverture d'une procédure de conciliation avec ses prêteurs lui assure quatre mois pour restructurer son bilan. Avec le spectre d’une restructuration très dilutive pour les actionnaires.
Le groupe de maisons de retraite médicalisées et de cliniques espère lancer l’opération en juin ou en septembre, dans l’attente notamment des autorisations des autorités de concurrence.
L’avenir compromis de ces activités pourrait inquiéter les banques qui comptent dessus pour recouvrer les créances et/ou soulager leurs bilans d’un certain nombre de prêts non performants.
Le groupe est entré en conciliation avec ses créanciers après avoir consommé 700 millions d'euros de trésorerie l'an dernier, portant sa dette nette à 2,2 milliards.
Soutenu jusqu'à présent par des éléments purement techniques, le cours de Bourse du distributeur s’effondre alors que la restructuration de l’entreprise touche à sa fin.